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Tiens! Le traître et assassin Sounhadj Attoumane est vivant

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Tiens! Le traître et assassin Sounhadj Attoumane est vivant

Plus de cardiologie d’assassinat, mais de politique de mensonge

Par ARM

Dieu soit loué! Sounhadj Attoumane est encore de ce monde. Il n’est pas mort. Il est vivant. Il se fait juste discret, n’ayant plus rien à dire sur l’espace public. Aux dernières nouvelles, il est “Con à essayer” à Bête-Salamalecs. Voilà un garçon qui a atterri sur l’espace public et politique de la plus horrible et de la plus dégueulasse des manières. Oui, l’homme Sounhadj Attoumane est entré en politique chez lui, à Bimbini, Anjouan. Il avait à peine 16 ans en cette période de Révolution d’Ali Soilihi (3 août 1975 – 13 mai 1978) quand il est devenu membre du Comité révolutionnaire ou populaire. Il était chargé d’une seule mission: signaler au Comité qui il fallait humilier, tabasser et torturer à Bimbini. Le bougre! Depuis, il a le goût du sang et de la mort dans la bouche. Après ses errements, errances, divagations et tribulations à l’étranger, il rentra aux Comores en se parant du titre de Docteur en Médecine spécialisé en Cardiologie. Rien que ça! Le Président Ahmed Abdallah Mohamed Sambi le fit sortir du ruisseau pour tenter d’en faire un homme. Autant tenter d’humaniser Satan. L’ancien mouchard et tortionnaire lui resta fidèle le temps qu’il lui fallait pour acheter ses costumes taillés dans la mauvaise étoffe et ses cravates à deux sous. Sous la présidence des Mohéliens de Bête-Salamalecs, il rampait devant Hadidja Aboubacar, épouse Ikililou Dhoinine, et explosa dans le Mal absolu sous la tyrannie du dictateur Assoumani Azali Boinaheri Ben Tartuffe dit Bakapihi, “le Père qui ne prépare jamais à manger“, sous les traits du félon qui a trahi le Président Ahmed Abdallah Mohamed Sambi, qui avait tenté de faire de lui un homme.

Oui, il a mordu la main qui l’a nourri, en voulant voler le Parti Juwa à son bienfaiteur Ahmed Abdallah Mohamed Sambi, comme s’il lui suffisait de commettre son forfait pour être suivi par la base et la Direction de la formation partisane. Logiquement, ce fut tintin. Il se répandit alors en injures publiques sur son ancien chef, qui a toujours été très correct et humain envers lui. Il se rangea ostensiblement derrière le dictateur Assoumani Azali Boinaheri contre le Président Ahmed Abdallah Mohamed Sambi, juste à un moment où il reçut de Paris les lettres de deux cardiologues lui intimant l’ordre de ne plus exercer en Cardiologie car les ordonnances qu’il délivrait conduisait directement nombre de ses patients à la mort. Il reconnut sa propre incompétence, s’éloigna de la Cardiologie et fut nommé “Con à essayer” auprès du dictateur de Mitsoudjé. Ouf! Sur la photo ci-haut, on le voit en costume et cravate de pacotille aux côtés du Colonel Cheikh Ahmed Abdallah. Il est ce qu’il est, c’est-à-dire mauvais comme la teigne et inutile comme un boubou déchiré, mais le fait qu’il soit vivant est une bonne chose. Si on devait débarrasser le monde de tous les malfaiteurs, la Terre serait vide.

Par ARM

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www.lemohelien.com – Jeudi 16 juin 2022.


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