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«Si je ne suis pas Ambassadeur à Dakar, je dévoile tout»

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«Si je ne suis pas Ambassadeur à Dakar, je dévoile tout»

Ahmed Djaza a été tué: il faisait chanter Assoumani Azali

Par ARM

       Voici la cause de l’assassinat du «Docteur 104%» Ahmed Mohamed Djaza, le Président ripoux, incompétent et corrompu de la Commission électorale nationale «indépendante» (CÉNI). Cet individu avait exigé du laborantin Assoumani Azali Boinaheri le poste d’Ambassadeur au Sénégal, pays où il avait déjà caché sa famille, sinon, il allait dévoiler des secrets de Polichinelle sur les fraudes électorales de 2016, 2018, 2019 et 2020. Pour un «Docteur 104%», Ahmed Mohamed Djaza n’était pas intelligent parce qu’il ne connaissait la violence mortelle et les pulsions de mort du poète lyrique Assoumani Azali Boinaheri, et ne savait pas que ses révélations n’allaient servir à rien puisque le monde entier sait tout sur ses crimes électoraux.

Loukmane, Monsieur Fils, laveur de morts

Par ailleurs, deux faits majeurs accréditent totalement et définitivement la thèse de l’assassinat: d’une part, aucun Mohélien n’a été autorisé à approcher le cadavre d’Ahmed Mohamed Djaza, et d’autre part, la toilette mortuaire de l’apprenti fraudeur électoral a été faite sous la férule de Monsieur Fils Loukmane, le rejeton militaire sadique et tortionnaire du danseur Assoumani Azali Boinaheri. Maintenant, il faudra expliquer à la famille du défunt depuis quand on empêche les gens de voir le corps d’un proche, et depuis quand l’Armée procède aux toilettes mortuaires. Et il y a pire: la toilette mortuaire et la prière de l’absent ont eu lieu dans le Cabinet même où Ahmed Mohamed Djaza a été tué. De toute manière, les indices n’ont pas cessé de s’accumuler: le manque de compassion du laborantin Assoumani Azali Boinaheri envers son serviteur mort, le corps d’Ahmed Mohamed Djaza jeté à terre comme le placenta d’une chienne, la vitesse à laquelle la délégation officielle a déguerpi de Mohéli après l’enterrement, et la désinvolture inhumaine avec laquelle l’ORTC, «l’odieux-visuel» public, a annoncé la mort du larbin électoral.

Au moins, tous les crimes de l’humaniste Assoumani Azali Boinaheri, qu’il s’agisse d’assassinats ou de crimes électoraux, ont un point commun: ils sont exécutés avec une telle folie, une telle violence et un tel amateurisme que c’est toujours cousu de fil blanc, et même un bébé voit le crime.

Par ARM

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© www.lemohelien.com – Dimanche 3 mai 2020.


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