Questions aux faussaires et à leurs complices dans l’État
Nous interrogeons les citoyens, les citoyennes et les faussaires
Par ARM
Pour une fois, nous n’affirmons pas; nous nous contentons de poser les questions aux citoyens, aux citoyennes et aux faussaires.
1.- Pourquoi, aux Comores, pendant que les profanes se mêlent de questions de Droit, sans savoir de quoi il s’agit, est-il interdit aux juristes de parler de Droit, et pourquoi, même quand le juriste cite les articles du Code pénal des Comores sur le faux et usage de faux en écriture cela est-il considéré comme une injure?
2.- Pourquoi, aux Comores, quand on invoque le Droit sur les faux témoignages cela est-il considéré comme une insulte et un parti pris, pendant que ce sont les faussaires qui s’arrogent le droit d’insulter les gens, ces derniers ne lisant jamais leurs écrits injurieux?
3.- Dans l’affaire opposant Mme Siti Mra-Ati Aboubacar et Mme Siti Kassim pourquoi la plainte de Mme Siti Kassim est-elle toujours considérée comme recevable quand l’huissier de Justice Ouardi Ali Ismaël, qui a voyagé en 2012 hors des Comores, est censé avoir enregistré le document faux et litigieux établi par Lahadji Ahamada, le mari de Mme Siti Kassim, en 2011, mais prétendument enregistré en… 2013? Depuis quand l’illicite est-il le licite?
4.- Pourquoi Lahadji Ahamada et Mme Siti Kassim ont-ils attendu 2020 pour accuser Mme Siti Mra-Ati Aboubacar alors qu’ils ont eu tout leur temps pour porter leurs graves et injustes accusations depuis 2011, et pourquoi «être restés» aussi longtemps «en association» avec une personne qu’ils accusent aujourd’hui de «vol», en se basant sur des documents qu’ils ont eux-mêmes falsifiés?
5.- Pourquoi faut-il prendre au sérieux Mme Mariama Madi, épouse Laguera, et Omar Avilaza, de la Direction régionale des Impôts à Mohéli, quand, toute honte bue, ils prêtent serment pour dire qu’ils ont l’habitude de légaliser les signatures sans lire le contenu des documents signés, sans demander une délégation de signature, ni une procuration à Lahadji Ahamada, qui prétend avoir reçu mandat de Mme Siti Mra-Ati Aboubacar pour signer des documents portant sur des millions de francs comoriens? Mais, où sont la délégation signature et la procuration sans lesquelles Lahadji Ahamada n’a pas le droit de signer à la place de Mme Siti Mra-Ati Aboubacar et prétendre signer en son nom et avec son mandat? Par quelle magie extraterrestre la Direction régionale des Impôts prend-elle les risques d’enregistrer des «statuts d’association» signés par une partie prétendant agir au nom de l’autre partie sans la pièce d’identité de la partie absente, ni sa procuration ou sa délégation de signature?
6.- Pourquoi dans un litige qui requiert une totale neutralité, mon ami fraternel et protégé suprême Adfaon Ahamada Bacar est-il passé du statut de Procureur à celui d’avocat de Siti Kassim et sa famille sans la moindre gêne, ni remords, ni problèmes de conscience, et sans rappel à l’ordre de la part de ses chefs?
7.- Pourquoi au Tribunal de Fomboni et celui de Moroni, «les magistrats» ont-ils la faiblesse de croire qu’ils peuvent faire tout ce que bon leur semble, en toute impunité?
Comme cela est annoncé ci-haut, aujourd’hui, nous n’affirmons rien. Nous posons les questions, et il appartiendra aux citoyens, aux citoyennes et aux faussaires de nous en fournir les réponses. Ceux et celles qui répondront objectivement à ces questions comprendront comment des citoyens établissent illégalement des «statuts» pour s’approprier illégalement ce qui appartient à autrui.
Par ARM
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© www.lemohelien.com – Mercredi 22 juillet 2020.
