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Nourdine Abodo, éternel et venimeux serpent à lunettes

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Nourdine Abodo, éternel et venimeux serpent à lunettes

Obséquieux et servile, Saïd Ahmed Saïd Ali l’appelle «Mzé»

Par ARM

       Ah, la mauvaise graine! Elle ne meurt jamais. Malheureusement. Et Nourdine Abodo est de la mauvaise graine. Instituteur autoproclamé «juriste» sans la moindre expertise en Droit, petit épicier aigri, homme sans âge, mercenaire s’offrant au plus offrant, opportuniste trouvant sa place dans tous les régimes politiques, il est la honte de l’administration. Quand on l’annonce mort professionnellement – ce que souhaitent tous les Comoriens aimant leur pays –, il retrouve toujours le moyen de rebondir. Sous la présidence d’Ikililou Dhoinine et le règne des Mohéliens de Bête-Salam, il sévissait partout à la Présidence de la République.

Pour pervertir les résultats des élections présidentielles de 2016 en faveur du «ventriote» Azali Assoumani Boinaheri, il s’était allié à plus vil, plus méprisable, plus sale, plus haïssable et plus maudit que lui: le fugitif international polygame Hamada Madi Boléro. Lors de la période des élections, le mercenaire Nourdine Abodo faisait tout pour être présent à tous les entretiens qu’Ikililou Dhoinine avait avec n’importe qui, pour défendre les intérêts du putschiste de Mitsoudjé. Ceux et celles qui le détestent à Bête-Salam le surnommèrent avec haine «le serpent à lunettes». Ce surnom s’étendit à l’autre malfaiteur maudit: le fugitif international polygame Hamada Madi Boléro dit Makridine, «Le Religieux de la Magouille», et surnommé Dracula par les jeunes de Djoiezi dans leur tract «Kala Wa Dala» de mai 2014.

La vie est bizarre, très bizarre. Sous Ahmed Sambi et Ikililou Dhoinine, le faux juriste et mercenaire Nourdine Abodo avait refusé d’aider un neveu du putschiste Azali Assoumani Boinaheri. Le dictateur de village né à Mitsoudjé jurait qu’il allait avoir la tête de l’ingrat à qui il avait rendu des services par le passé. Or, au lendemain des saletés électorales des Mohéliens de Bête-Salam en 2016, il fait du serpent à lunettes son «Conseiller juridique» comme l’avaient fait d’autres avant lui, alors que l’instituteur mendiant ne connaît rien en Droit. Le dictateur de Mitsoudjé l’éloignera officiellement de lui, mais la mauvaise graine ne meurt pas. Le serpent à lunettes a gardé intactes sa capacité et sa volonté de nuisance. Il nuit. Exactement comme l’autre serpent à lunettes, le fugitif international polygame Hamada Madi Boléro.

Qu’on se le dise! Malgré toutes les contorsions du «concubinocrate» Azali Assoumani Boinaheri envers son serpent à lunettes, ce dernier est omniprésent et est resté son unique et vrai «Conseiller juridique» et éclipse l’inutile et falot Saïd Abdallah Cheikh, qui ne fait que de la figuration scélérate. Aujourd’hui, toute honte bue, Saïd Ahmed Saïd Ali, l’enfant maudit de Ntsoudjini, l’appelle obséquieusement «Mzé», c’est-à-dire «le vénérable aîné». Les Mohéliens ont un proverbe pour ce genre de situation: «Dans les festivités organisées par la merde, c’est l’urine qui danse».

Par ARM

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© www.lemohelien.com – Mercredi 23 août 2017.


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