Notre frère bien-aimé Elhad Wadaâne est mort. Hélas!
Le décès d’un homme de grande valeur morale et éthique
Par ARM
«Très certainement, Nous vous éprouverons par un peu de peur, de faim et de diminution de biens, de personnes et de fruits. Et fais la bonne annonce aux endurants, qui disent, quand un malheur les atteint: “Certes nous sommes à Allah, et c’est à Lui que nous retournerons”. Ceux-là reçoivent des bénédictions de leur Seigneur, ainsi que la miséricorde; et ceux-là sont les biens guidés» (II, La Vache, 155-157).
Hélas! Oui, hélas, notre cher frère bien-aimé Elhad Wadaâne vient de finir son existence terrestre. Dieu a rappelé un homme de grande vertu, un homme de grande piété, un homme au grand cœur, un homme pétri d’éthique et d’esthétique, un homme qui, chaque jour, était à la recherche de la perfection.
Elhad Wadaâne incarnait un idéal de piété, bonté, éthique et esthétique.
Son décès affecte de nombreuses personnes sur toutes les îles des Comores.
Ceux qui ont connu notre frère Elhad Wadaâne retiennent de lui une image d’intelligence sublime, de sociabilité, de convivialité et de capacité à aller fraternellement, sincèrement et spontanément vers les autres.
En cette circonstance tragique, nous présentons nos sincères condoléances à la famille, aux proches et à l’entourage du défunt, ainsi qu’à tous ceux qui se sentent concernés et affectés par ce décès. Nous avons une pensée particulière de compassion pour notre frère Ahmed Ali Amir, terriblement atteint par une immense douleur du fait d’un décès qui lui enlève un homme qui lui était sincèrement proche et cher.
Nous prions Dieu pour que, dans Son incommensurable Miséricorde et dans Son infinie Clémence, Il accueille notre frère Elhad Wadaâne dans Son Paradis éternel.
«Très certainement, Nous vous éprouverons par un peu de peur, de faim et de diminution de biens, de personnes et de fruits. Et fais la bonne annonce aux endurants, qui disent, quand un malheur les atteint: “Certes nous sommes à Allah, et c’est à Lui que nous retournerons”. Ceux-là reçoivent des bénédictions de leur Seigneur, ainsi que la miséricorde; et ceux-là sont les biens guidés» (II, La Vache, 155-157).
www.lemohelien.com – Mardi 13 août 2022.
