Mzimba et Ahamada Mahamoud se partagent Sambi
Les 2 compères tuent Sambi, se partagent ses dépouilles
Par ARM
Mais, où vont les Comores? Nous voici devant le Tribunal de Moroni ce jour funeste où la dictature de Mitsoudjé disait ouvrir son procès en sorcellerie et en charisme contre le Président Ahmed Abdallah Mohamed Sambi. Pendant que tous les Comoriens soucieux de Droit, d’équité et de justice s’inquiétaient du sort funeste et lugubre qui était préparé contre l’innocent Ahmed Abdallah Mohamed Sambi, de son côté, Ibrahim Ali Mzimba ne se préoccupait que de sa propre petite et misérable personne, secoué qu’il était par la présence sur les lieux de son ennemi intime et préféré, Maître Fahmi Saïd Ibrahim en robe d’Avocat en tant que l’un des défenseurs de l’innocent emmuré vivant à Voidjou, non loin de chez cet Ibrahim Ali Mzimba-là. Comme les menteurs avaient perfidement répandu la fausse rumeur selon laquelle Maître Fahmi Saïd Ibrahim avait trahi son ami fraternel Ahmed Abdallah Mohamed Sambi, sa présence sur les lieux avait littéralement tué Ibrahim Ali Mzimba et sa coterie, formée notamment d’Ahmed Hassane El Barwane, secrétaire général du Parti Juwa du Président Ahmed Abdallah Mohamed Sambi, et qui travaille à la perte de ce dernier, lui qui avait crié quelques jours auparavant à la fois pour soutenir l’hérésie criminelle d’Ibrahim Ali Mzimba sur l’inexistant «principe du fait du prince» (on dit tout simplement «fait du prince», et celui-ci n’existe pas dans le domaine judiciaire) et pour dire que Maître Fahmi Saïd Ibrahim n’était en rien concerné par la défense du Président Ahmed Abdallah Mohamed Sambi. Voire…
Quand Ibrahim Ali Mzimba a vu Maître Fahmi Saïd Ibrahim en robe d’Avocat pour défendre l’emmuré de Voidjou, il a frisé la crise cardiaque, et a immédiatement convoqué son média pour dire qu’il n’allait pas défendre le Président Ahmed Abdallah Mohamed Sambi parce que Maître Fahmi Saïd Ibrahim faisait partie de ses Avocats! Or, le Président Ahmed Abdallah Mohamed Sambi n’a jamais constitué Ibrahim Ali Mzimba, et donc ce dernier ne pouvait le défendre. La veille du début de la mascarade au Tribunal, en pleine nuit, il y avait eu une réunion des Avocats du Président Ahmed Abdallah Mohamed Sambi sur la stratégie de défense à adopter face à un «Tribunal Haram» composé de «Magistrats Haram»: Ibrahim Ali Mzimba y brillait par son absence, en ceci qu’il n’était en rien concerné par la défense du Président Ahmed Abdallah Mohamed Sambi. Il n’y était pas invité. Il n’y avait pas sa place.
En réalité, Ibrahim Ali Mzimba était devenu fou par la présence de Maître Fahmi Saïd Ibrahim au Tribunal de Moroni parce qu’elle dérange ses plans pour 2024. En effet, comme on sait, il va y avoir une nouvelle mascarade électorale en 2024. Ibrahim Ali Mzimba s’accroche à son inexistant «principe du fait du prince» pour prétendument faire libérer le Président Ahmed Abdallah Mohamed Sambi, mais en faisant subsister des doutes sur son innocence, se faisant passer pour celui qui veut la libération de l’ancien Président, en croyant faire passer Maître Fahmi Saïd Ibrahim pour celui qui s’y oppose. De la sorte, il espère récupérer l’électorat du Président Ahmed Abdallah Mohamed Sambi. Il peut toujours rêver. Naturellement, Ahmed Hassane El Barwane et sa petite bande de frustrés, emportés par ce que les Mohéliens appellent «les petits calculs de rat», ont pris fait et cause pour celui qui n’a jamais défendu le Président Ahmed Abdallah Mohamed Sambi, pourtant parfaitement innocent…
La réalité? Ibrahim Ali Mzimba et Ahamada Mahamoud, un des Avocats du Président Ahmed Abdallah Mohamed Sambi, le chouchou attitré et complice en assassinat politique d’Ahmed Hassane El Barwane, ont conclu un pacte, qui ressemble un peu trop à un marché des dupes: tuer le Président Ahmed Abdallah Mohamed Sambi et se partager ses dépouilles, le tout avec la complicité d’Ahmed Hassane El Barwane, qui croit que la mort du Président Ahmed Abdallah Mohamed Sambi fera de lui l’héritier de son charisme naturel, de sa popularité, de son électorat et du Parti Juwa. Pour sa part, Ibrahim Ali Mzimba a pu récupérer quelques grognons haineux, inintéressants et inintelligents du Parti Juwa, uniquement par détestation envers Maître Fahmi Saïd Ibrahim qui, pourtant, les avait conduits au second tour de l’élection de 2016 avant que les Mohéliens de Bête-Salam ne repêchent par inconscience et par haine le dictateur Assoumani Azali Boinaheri à «104%».
Dès lors, quand Maître Fahmi Saïd Ibrahim a joliment déclaré la caducité du défunt Comité national de Transition (CNT), le nid des traîtres les plus remuants et les plus répulsifs, au lendemain de l’officialisation de la trahison du traître notoire Mouigni Baraka, fils de Saïd Soilihi, le boulanger de Ntsoudjini, Ibrahim Ali Mzimba s’est répandu en injures infantiles et stupides sur Maître Fahmi Saïd Ibrahim parce que la caducité d’un CNT dirigé par son pote Ahamada Mahamoud contrecarre mortellement le plan de ces larrons en foire.
En d’autres termes, Ibrahim Ali Mzimba, dont le sort du bordel est entre les mains de Satan et le plonge dans le plus profond des désespoirs, soutient Ahamada Mahamoud dans sa présidence sur le machin caduc appelé CNT, et Ahamada Mahamoud soutient Ibrahim Ali Mzimba pour la mascarade électorale de 2024. Pour eux, le Président Ahmed Abdallah Mohamed Sambi est un cadavre politique dont il faut se partager les dépouilles, et dont ils se les partagent déjà. Quelle grandeur d’âme!
Est-ce que les Ibrahim Ali Mzimba et Ahamada Mahamoud savent de quoi demain sera fait? Est-ce qu’ils croient que le dictateur Assoumani Azali Boinaheri va rester au pouvoir ad vitam aeternam? Aujourd’hui, la situation des Comores semble bloquée, et le dictateur Assoumani Azali Boinaheri parade, se disant invincible, en croyant qu’il est devenu Dieu. Mais, ce monde appartient à Dieu. Dans leurs «petits calculs de rat», Ibrahim Ali Mzimba et Ahamada Mahamoud ignorent une information essentielle: en 2016, Maître Fahmi Saïd Ibrahim, soutenu par le Président Ahmed Abdallah Mohamed Sambi, avait fait un score très honorable, arrivant même à la deuxième place avant le crime des Mohéliens de Bête-Salam, alors qu’aux élections gubernatoriales de la Grande-Comore, la même année, Ahmed Abdallah Salim, également soutenu par le même Président Ahmed Abdallah Mohamed Sambi, mordait la poussière à la 5ème place. Donc, Ibrahim Ali Mzimba et son compère Ahamada Mahamoud doivent bien réfléchir quand ils font leurs «calculs de rat» sur «l’électorat du Président Ahmed Abdallah Mohamed Sambi».
Par ARM
Le copier-coller tue la blogosphère comorienne. Cela étant, il est demandé amicalement aux administrateurs des sites Internet et blogs de ne pas reproduire sur leurs médias l’intégralité des articles du site www.lemohelien.com – Il s’agit d’une propriété intellectuelle.
© www.lemohelien.com – Mardi 20 décembre 2022.
