«Détruisez Fahmi Saïd Ibrahim! À quel jeu joue-t-il?»
Mouigni Baraka veut pousser des journalistes à la haine
Par ARM
Deux journalistes absolument crédibles ont confirmé l’information: Mouigni Baraka Saïd Soilihi est tellement énervé par la visite à Bête-Salam de Maître Fahmi Saïd Ibrahim, son ennemi intime de 40 ans, qu’il n’a pas pu s’empêcher d’appeler certains journalistes pour crier: «Détruisez Fahmi Saïd Ibrahim! Il faut le dénoncer avec virulence! À quel jeu joue-t-il? C’est moi qui dois être reçu à Beït-Salam parce ce que je suis le chef institutionnel de l’Union nationale de l’Opposition. Lui, il est qui? Il ne représente que lui-même. Il ne représente même pas le Parti Juwa. Il est dans l’usurpation et dans la conspiration. C’est de la foutaise! Dans vos articles, il faudra expliquer qu’il est parti mendier auprès d’Azali Assoumani». Les 2 journalistes sont dégoûtés et s’en plaignent. Ils n’ont pas aimé qu’on leur fasse la leçon et qu’on leur tienne les doigts et la plume.
Pauvre Mouigni Baraka Saïd Soilihi! Le pauvre chéri! Le pauvre chéri doudou! Si au moins il connaissait toute la vérité sur la rencontre entre Maître Fahmi Saïd Ibrahim et le Docteur Assoumani Azali Boinaheri! C’est son ennemi Maître Fahmi Saïd Ibrahim qui rétablit la vérité, et cela de la manière la plus énervante pour ses détracteurs et adversaires: ce n’est pas Bête-Salam qui a sollicité la rencontre, mais Maître Fahmi Saïd Ibrahim; il ne s’agissait pas de parler de coronavirus – domaine dans lequel aucun des deux interlocuteurs n’a de compétences spécifiques –, mais de problèmes politiques (autres que la demande d’un poste de ministre). Par la suite, c’est Maître Fahmi Saïd Ibrahim qui a appelé Bête-Salam pour demander une correction du tweet initial. En la matière, l’élément le plus important à retenir est la transparence. Comme Maître Fahmi Saïd Ibrahim a souvent été mensongèrement et injustement accusé de ramper en pleine nuit pour aller à Bête-Salam, cette fois-ci il y a été pour de vrai, et ne s’en cache pas. Les choses se passent en pleine lumière.
Il aurait fallu que Mouigni Baraka Saïd Soilihi accepte de jouer à la même transparence, lui qui est souvent reçu en pleine nuit à Bête-Salam, où il quémande des prébendes. Quand il y est, les animateurs des intrigues politiques et sociales de la Place-Rouge de Ntsoudjini voient même la couleur de ses chaussettes de boulanger-pâtissier.
Par ARM
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© www.lemohelien.com – Samedi 16 mai 2020.
