Mouigni Baraka, de la folie des grandeurs à la folie pure
Au Maouloud à Ntsoudjini, il a étalé toute sa mégalomanie
Par ARM
Lors de la cérémonie de Maoulid à Ntsoudjini, on s’est focalisé sur le lugubre, funeste et vulgaire spectacle offert par le dictateur fou Assoumani Azali Boinaheri, incapable de lire la moindre ligne sur la biographie en arabe du Prophète Mohammed Ibn Abdallah née sous la plume de l’Indien Barzanji. Pourtant, au cours de la même cérémonie, se déroulait un autre spectacle, également lugubre, funeste et vulgaire, celui d’un Mouigni Baraka, fils de Saïd Soilihi, rallié officiellement au dictateur de Ntsoudjini, avachi lugubrement et honteusement sur un siège qu’il avait voulu identique à celui qui avait été réservé au dictateur farfelu Assoumani Azali Boinaheri. Pendant ce temps, Anissi Chamsidine, Gouverneur par usurpation d’Anjouan, devait se contenter d’un siège «ordinaire». La posture de Mouigni Baraka, fils de Saïd Soilihi, au cours de la cérémonie est d’autant plus triste et regrettable qu’elle est celle d’un homme sans la moindre élégance, emporté par une folie des grandeurs devenue de la folie pure et simple. Avait-il vraiment besoin de demander à ses compatriotes villageois de Ntsoudjini de le loger à la même enseigne que le dictateur de Mitsoudjé, son chef? Sa mégalomanie ne lui a été d’aucune utilité, bien au contraire.
Par ARM
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© www.lemohelien.com – Dimanche 16 octobre 2022.
