Monsieur cousin gâté Kamaldini Souef fait l’enfant gâté
Il a menacé les journalistes de violences et injurie les gens
Par ARM
Votre site avait décidé de ne pas commenter les menaces de violences mortelles de Kamaldini Souef contre tous ceux qui parleraient de lui en termes négatifs, expliquant que ses hommes de main et de bouche allaient s’en charger. Kamaldini Souef, cousin direct du dictateur Assoumani Azali Boinaheri, après avoir détruit la Douane des Comores, notamment pour ses partouzes aux Comores et à l’étranger, a été nommé «ministre des Finances, du Budget et du secteur bancaire» le 26 août 2021. C’est le fameux principe de Peter: «Dans une hiérarchie, tout employé a tendance à s’élever à son niveau d’incompétence», étant noté que, «avec le temps, tout poste sera occupé par un employé incapable d’en assumer la responsabilité». Quand on a connu Kamaldini Souef dans sa médiocrité, son incompétence, sa haine et son mépris quand il était incapable d’être admis en première session aux examens de l’Institut supérieur de Commerce et d’Administration des Entreprises (ISCAE) de Casablanca, au Maroc, on ne s’étonne guère des menaces de mort qu’il profère en cas de crime de lèse-majesté à l’encontre de son auguste personne de cousin de dictateur sauvage.
Monsieur Cousin Kamaldini Souef
Kamaldini Souef est minable. Petit, il est resté petit, même si la gale qui lui rongeait les mains a reculé. Il ne lui est pas reproché d’être petit, mais d’être resté petit. Après avoir menacé les journalistes et les animateurs des réseaux sociaux de violences physiques pouvant entraîner la mort, il a été désavoué du bout des lèvres par les autres tenants de la dictature, versant des larmes de crocodile, alors qu’ils le soutiennent tous. Alors que le Syndicat des Journalistes est monté au créneau pour dénoncer des propos malheureux, envisageant une procédure en justice, Monsieur Cousin publie un communiqué dans un océan de fautes de français pour essayer de se défendre piteusement: «J’ai tenu des propos qui ont pu heurter la sensibilité de certaines personnes et qui ont été récupéré [Sic: «Récupérés»] par certains médias à des fins inavouées». Ah bon? A-t-il, oui ou non, menacé de violences physiques ceux qui parleraient de lui en termes négatifs? Il les a menacés. Alors, pourquoi parle-t-il de «récupération» de ses propos «à des fins inavouées»? Il ment. Il exagère.
Haineusement et mensongèrement, il parle de «certains articles partisans, truffés de contre-vérités» et de «déclarations mensongères» alors qu’il reconnaît avoir tenu les propos qui lui sont reprochés. Il est tellement nul qu’il ose écrire «des propos non fondé» au lieu de «propos non fondés». Il écrit de «nos Lois» au lieu de «nos lois», alors que le mot «Loi» ne prend une majuscule que quand «la Loi», au singulier, désigne le Droit de façon générale, et non des lois votées par le Parlement. Qu’on se le dise! Il ne devait pas écrire la phrase «Cet exercice devant être réciproque», mais «Cet exercice doit être réciproque». Allez le lui dire!
Il a avoué avoir des milices allant tuer les gens qui parleraient de sa sainte personne sans l’encenser, et maintenant, il prétend: «J’ai un profond respect pour la liberté d’expression», «Mon souhait le plus ardent est de voir les journalistes continuer à travailler en toute liberté dans notre pays». Ah bon? Pour «continuer à travailler en toute liberté», cela supposerait qu’ils travaillent déjà «en toute liberté», ce qui n’est pas le cas. Dès lors, le «continuer» est de trop, et est injustifié. Quand il prétend «renouveler sa confiance à la presse», on pleure de rire tant c’est comique. Et le voilà, emporté par ses envolées lyriques tropicales au point de prétendre travailler «dans l’intérêt du peuple comorien», par «des réformes». Apprendre cela et mourir! Son silence aurait mieux valu que ce communiqué scélérat visiblement rédigé par le berger Djaé Ahamada Chanfi, le chantre des fautes de français. Qu’on se le dise!
Par ARM
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© www.lemohelien.com – Mardi 28 septembre 2021.
