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Mohamed Issimaïla traficotait les visas de pèlerinage

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Mohamed Issimaïla traficotait les visas de pèlerinage

En Arabie, il rognait sur le quota des pèlerins comoriens

Par ARM

      L’heure est grave. L’heure est très grave. Les Comoriens doivent entrer dans les mosquées et prier pour leur malheureux pays, à un moment où ce patriote sincère qui vit à Bordeaux dit que même Dieu est fatigué par les salades des autorités comoriennes. Il ne reste donc que la prière pour les Comores. L’heure est grave et même très grave. Mohamed Issimaïla, le prétendu «Conseiller diplomatique» du «pouvoiriste» polygame Azali Assoumani, l’homme qui donne des leçons de politique étrangère et de diplomatie à la Planète entière, n’a pas pu empêcher «l’émergence» de l’un de ses secrets de Polichinelle les plus nauséabonds: son petit mais très lucratif trafic de visas en Arabie Saoudite. En effet, alors qu’on l’appelait Son Excellence Monsieur l’Ambassadeur extraordinaire et plénipotentiaire de l’Union des Comores auprès du Royaume d’Arabie Saoudite, non seulement il avait laissé l’Ambassade devenir un baisodrome pour homosexuels, mais en plus, avait transformé la partie non infestée par les pédés en lieu de trabendo de visas de pèlerinage de Comoriens en Arabie. Il vendait les visas à des étrangers qui n’avaient aucun moyen d’en avoir dans leur pays d’origine, pour des raisons de quotas.

En d’autres termes, quand les Comores recevaient des visas pour un quota de 2.000 pèlerins, par exemple, une partie des visas était accaparée par les «Comoriens» de la «citoyenneté économique», Mohamed Issimaïla vendait au prix fort 300 visas par an à 6.000 euros pièce, et ce n’est qu’une infime partie qui atterrissait aux Comores. L’homme qui aime «l’eau de riz grillé» et le «tabac-diable» pour s’enivrer et se droguer à mort s’est enrichi dans des proportions incroyables pendant les deux années qu’il a passées en Arabie Saoudite. Aujourd’hui, il s’est reconverti dans le nationalisme de pacotille pour soutenir son chef quand il se fourvoie dans la rupture des relations diplomatiques entre les Comores et le Qatar, juste pour récolter quelques sacs de pétrodollars pour lui-même, Ambari, sa première épouse, et Loukman, le futur putschiste par hérédité, futur dictateur au nom du père, gardien de prison aujourd’hui pour les gens qui prient dans les mosquées et poison pour les Comores de demain. L’ivrognerie mène à toutes les hontes. Au moins, avec cet argent, il a pu s’acheter des boubous d’un blanc immaculé et au pli impeccable en plus de ses bouteilles de ce qu’on sait et de ses «cigarettes» de «tabac-diable». Vive l’émergence des émergents!

Par ARM

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© www.lemohelien.com – Jeudi 29 juin 2017.


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