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«Majorité minoritaire»: un accord sur un désaccord

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«Majorité minoritaire»: un accord sur un désaccord

Assoumani Azali intrigue, complote et conspire dans le vide

Par ARM

     Quelques jours seulement après la clôture du Festival de Cannes, une Palme d’Or vient d’être remportée: celle de la Duplicité, Double Langage, Hypocrisie et Mensonge. Cet exploit a eu lieu dans un archipel de l’océan Indien: aux Comores. Pour résumer une situation très embrouillée, on pourrait poser les données du problème dans les termes les plus simples et lapidaires: le clan politique du «pouvoiriste» polygame fou Assoumani Azali Boinaheri dit Bakapihi, «Le Père qui ne prépare jamais à manger», a perdu la raison. Chacun de ses membres veut se montrer plus agressif, belliciste et belliqueux que l’autre.

C’est ainsi que Fakridine Mradabi, le jeune homme qui possède 3 appartements à Paris, a dit aux gens à Moroni que le pire attend l’ancien et inévitable prochain Président Ahmed Sambi dans les jours à venir. C’est très grave. Fakridine Mradabi, alors qu’il avait attribué au «concubinocrate» Assoumani Azali Boinaheri tous les sobriquets les plus méprisants pendant qu’il soutenait Mohamed Ali Soilihi en 2016, se croit obligé, aujourd’hui, de se comporter en subalterne trivial et zélé pour tenter d’effacer et cacher sa trahison à l’endroit du «ventriote» Assoumani Azali Boinaheri et de la Confrérie des Renégats et des Criminels (CRC).

D’ailleurs, à propos de trahison, seul Houmed Msaïdié Mdahoma n’a pas compris que le bambochard Assoumani Azali Boinaheri ne lui a toujours pas pardonné les insultes qu’il proférait à son endroit de 2013 à 2014. Selon un très, très proche du putschiste multirécidiviste Assoumani Azali Boinaheri, un natif de Mitsoudjé, le dictateur du Hambou le déteste toujours à cause de la scission de la CRC et de la naissance du RADHI.

Par ailleurs, un fait politique majeur qui s’est produit la semaine dernière a obligé Houmed Msaïdié Mdahoma à changer de stratégie. Que s’est-il passé la semaine dernière? Alors que le tyran Assoumani Azali Boinaheri a obligé tous les «partis politiques» (Allons bon!) soutenant sa politique à s’unir autour d’une structure commune, Houmed Msaïdié Mdahoma se voyait déjà Secrétaire général naturel de cette nouvelle mouvance politique de type «parti cocotte-minute». Le dictateur Assoumani Azali Boinaheri a très vite compris l’importance que Houmed Msaïdié Mdahoma pouvait prendre s’il obtenait le poste. N’est-ce pas lui qui était secrétaire de la CRC avant sa scission et la naissance du RADHI le 24 mai 2014?

Dès lors, le soudard Assoumani Azali Boinaheri appela les siens et les obligea à soutenir un nain politique, un insignifiant leader d’un insignifiant tout petit «parti politique» que personne ne connaît: Ali Youssouf Mliva du MPT au détriment de Houmed Msaïdié Mdahoma. Ali Youssouf Mliva dit «Mrouvou» («L’Homme vide») ou encore «Le Mal nommé». En effet, en comorien, «Mliva» signifie «Celui qui paie» (notamment ses dettes). Or, «Mrouvou» Ali Youssouf Mliva a une prétendue société d’assurances, mais qui ne paye jamais les sinistres. Ce voyou notoire s’est vu saisir sa maison par la SNPCF pour se faire rembourser une dette par lui contractée, et qu’il ne voulait pas payer. Cet immeuble abrite aujourd’hui les bureaux de la Cour suprême de Cheikh Salim et sa nouvelle épouse, Harimia Ahmed. «Mrouvou» Ali Youssouf Mliva ne paye jamais, ne rembourse jamais. C’est pourquoi il est surnommé «Le Mal nommé».

Dans l’ensemble, il se tient un marché des dupes à Bête-Salam. Alors que le fou de Mitsoudjé avait donné des consignes claires pour faire élire son poulain «Mrouvou» Ali Youssouf Mliva, le voyou notoire Maoulana Charif, Vice-président de l’Assemblée de l’Union des Comores chargé d’«enceinter» et d’engrosser les jeunes stagiaires et de les faire faire avorter à l’étranger avant de les titulariser, a été infidèle à son chef. Pourtant, en tant que héritier présomptif, il est considéré comme un fidèle parmi les fidèles du dictateur de Mitsoudjé. Ce bandit avait manœuvré en coulisses pour faire élire son poulain à lui et qui n’avait pas les faveurs du «ventriote» Assoumani Azali Boinaheri. Toutefois, ce challenger bénéficiait d’un atout majeur: celui d’avoir des relations de parenté avec le chenapan Maoulana Charif et d’être de sa propre ville Itsikoudi-Oichli. Il s’agit du déroutant, décoiffant et virevoltant Achrafi Saïd Hachim, l’ancien ministre de Mohamed Taki Abdoulkarim, qui voulait renverser le putschiste Assoumani Azali Boinaheri le 19 décembre 2001.

Malgré les grandes manœuvres salaces et perfides du voyou Maoulana Charif pour imposer Achrafi Saïd Hachim, il n’a pas réussi. Par contre, le candidat imposé par le fuyard en slip Assoumani Azali Boinaheri l’emporta lors d’une réunion organisée à l’hôtel Le Moroni. Tous les affidés du pouvoir se sont mis derrière la volonté de leur maître, au premier rang desquels Ibrahim Ali Mzimba, qui vient de découvrir les meilleures qualités à la personne de «Mrouvou» Ali Youssouf Mliva, même celle d’être un bon payeur.

Pourquoi le garçon fou de Mitsoudjé a-t-il voulu imposer une arsouille sans envergure, ni dignité, ni culture et surtout ni légitimité comme patron de la «majorité minoritaire»? Cette stratégie perdante est tout simplement dictée par la volonté d’étouffer tout appétit et velléité de jouer un rôle dans la perspective des élections présidentielles qu’il prévoit pour 2019 et qui auront lieu en 2021, sans lui.

En même temps, il faut signaler que la stratégie foireuse de Houmed Msaïdié Mdahoma consiste à aider le «concubinocrate» Assoumani Azali Boinaheri à casser la présidence tournante par le référendum qui n’aura jamais lieu afin de lui donner la possibilité de ravir leur tour aux Anjouanais et aux Mohéliens et pouvoir se porter candidat. Le desperado Assoumani Azali Boinaheri a compris que Houmed Msaïdié Mdahoma ne va jamais le soutenir. Le tyran de Mitsoudjé a même des informations selon lesquelles Fakri Mradabi se prépare à l’étranger pour lever des fonds afin de soutenir Houmed Msaïdié Mdahoma dans la perspective d’un scrutin présidentiel anticipé qui n’aura jamais lieu.

En tout état de cause, «Mrouvou» Ali Youssouf Mliva se dit très satisfait que son nouveau maître l’ait choisi au détriment de Houmed Msaïdié Mdahoma et d’Achrafi Saïd Hachim, plus grandes figures politiques que lui, même si les deux lascars ont perdu toute crédibilité aux yeux du peuple. Mrouvou» Ali Youssouf Mliva se voit déjà jouer dans la cour des grands, allant jusqu’à promettre à Ibrahim Ali Mzimba qu’il fera de lui le futur ministre des Affaires étrangères, ajoutant perfidement, «comme ça, la France sera contente», sans dire pourquoi. Ibrahim Ali Mzimba et «Mrouvou» Ali Youssouf Mliva ont le même parrain dégueulasse: l’ignominieux et abject mercenaire Nourdine Abodo, surnommé Satan par les magistrats, l’Intrigant par les avocats, l’Infâme par le peuple, le Serpent à lunettes à Bête-Salam et le Vénérable Aîné par le vil et ignoble trabendiste Saïd Ahmed Saïd Ali, descendant direct de l’écrivain anglais William Shakespeare, qui a rédigé Othello et Roméo et Juliette sous l’arbre à pain et le cocotier jouxtant la case de ses ancêtres à Ntsoudjini, ville dont il est le beau gosse officiel et attitré.

Par ARM

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© www.lemohelien.com – Mercredi 23 mai 2018.


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