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«Maître Clous», nouveau surnom de Saïd Larifou

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«Maître Clous», nouveau surnom de Saïd Larifou

Radié en France, avocat du gouvernement aux Comores

Par ARM

      Mesdames et Messieurs, vous êtes invités à lire le numéro du journal gouvernemental Al-Watwan dit Al-WawaCelui qui pique», «fait gratter» ou «fait démanger») de ce lundi 26 février 2018. On y voit l’horreur absolue. Oui, on y voit l’horreur absolue: le «pouvoiriste» polygame Assoumani Azali Boinaheri dit Bakapihi, «Le Père qui ne prépare jamais à manger» recevant le Procureur incompétent et corrompu mohélien Abbas Houtoibou dit «50.000» (il demande 50.000 francs comoriens, soit 100 euros, à tout plaignant), le Procureur grand-comorien incompétent, corrompu et fraudeur du train Paris-Bordeaux qu’est Youssouf Ali Djaé, et la pute des putes, Saïd Larifou, l’avocat radié à la Réunion, où sa maison a été vendue aux enchères, son cabinet d’avocat fermé et où il doit 2 millions d’euros au Fisc.

Curieusement, l’avocat radié à la Réunion et surendetté à vie est devenu l’avocat du gouvernement aux Comores, alors qu’en vertu des traités existant entre les Comores et la France, la radiation du personnage en territoire français aurait dû entraîner ipso facto son interdiction d’exercice du métier d’avocat aux Comores. Sous le règne maudit des Mohéliens de Bête-Salam, le fugitif international Hamada Madi Boléro m’avait parlé du rapport accablant remis à Ikililou Dhoinine par les autorités de tel pays au sujet de Saïd Larifou. Ce sont des saletés tout à fait prouvées sur l’individu. Compte tenu de la connivence entre le fugitif international Hamada Madi Boléro et le «concubinocrate» Assoumani Azali Boinaheri, il est certain que le garçon de Chouani, en a parlé au dictateur de Mitsoudjé, en voisin. Le connaissant comme je le connais, je suis sûr qu’il lui a même remis une copie de ce rapport.

Les avocats sont nombreux à Moroni, et il a fallu que la «Ripoux-blique» de Mitsoudjé fasse le choix d’un avocat radié en France, vilipendé partout pour les nombreuses dettes qu’il a contractées sans possibilité de rembourser, lui qui est dans une insolvabilité totale et définitive?

Ce qui est vraiment révoltant au sujet de cette photo sur Al-Wawa, c’est que Bakapihi recevait ces corrompus et incompétents pour parler des clous se promenant à l’Aéroport de Mohéli le lundi 19 février 2018. Mais, où a-t-on vu le chef de l’exécutif recevoir des magistrats pour parler d’une enquête en cours, surtout si lui-même est considéré comme concerné par l’affaire en question. Mais, que font ce gens-là de la séparation des pouvoirs, l’un des piliers du Droit? Même les simples citoyens qui n’ont jamais étudié le Droit se posent la question. Quelle est la place du Droit dans un tel dévoiement de la Loi?

Mais, que fait Saïd Larifou, désormais surnommé «Maître Clous», en présence des magistrats? D’accord, il est «l’avocat du gouvernement», mais il n’a pas sa place sur cette photo. Il aurait dû attendre que la juridiction compétente boucle son enquête et la lui remette pour qu’il prépare son dossier pour son client. Mais, là, comme ça, il s’agit d’une affaire très grave. C’est une injure au Droit. Tout vrai juriste a honte à sa place. Aujourd’hui, il est impossible de regarder «Maître Clous» en face sans avoir honte à sa place.

Youssouf Ali Djaé, le fraudeur de train Paris-Bordeaux, aurait dû se casser la jambe au lieu de dire que «le président nous a reçus en sa qualité de chef de la magistrature. Il ne nous a donné aucune instruction, ni injonction. Il nous a encouragés à poursuivre l’enquête afin de mettre au plus vite la lumière sur cette affaire». Voire… Monsieur, au nom de la séparation des pouvoirs, il n’avait pas à le faire. La Loi l’interdit, surtout qu’il ne peut pas être juge et partie en même temps. Ce mélange des genres est inadmissible. Et voilà le corrompu et incompétent Abbas Houtoib qui se lance dans des divagations périlleuses, en parlant d’Ismaël Ahmed Kassim et Hamada Al Moutawakil (Photo), les deux Mohéliens déportés en Grande-Comore, où ils sont arrivés menottés et déshabillés: «Nous disposons de preuves que ces deux personnes sont impliquées». Des preuves? Mais, de quelles preuves s’agit-il, et à l’issue de quelle enquête ont-elles été recueillies, une enquête menée où, par qui, à un moment où il ne fait plus de doute que toute cette affaire a été montée de toutes pièces par le pouvoir en place pour justifier l’instauration d’un «climat pourri dans le pays», comme le dit ce juriste comorien connu pour son amour des bons mots?

      On est plié de rire en attendant le corrompu et incompétent Abbas Houtoibou, l’homme aux 50.000 francs comoriens, dire, toute honte bue: «Ceci n’est pas une affaire politique. C’est une atteinte à la sûreté de l’État, un crime. Toute personne qui rependra de fausses informations devra répondre de ses propos devant la justice». Ah bon? «Ceci n’est pas une affaire politique»? C’est quoi, alors? Qui plus est, dans l’affaire, qui répand les «fausses informations»? Et puis, il paraît que des Comoriens vivant à Mayotte seraient susceptibles de poursuites judiciaires pour leur traitement de cette escroquerie monumentale. Bon courage… Ces Comoriens attendent debout.

Revenons à Saïd Larifou dit «Maître Clous».

«Maître Clous», dont les études secondaires se sont arrêtées en classe de Seconde pour fainéantise et absence de niveau (ses fautes d’orthographe parlent pour lui), est, une fois de plus, dans une grave erreur, qui le poursuivra toute sa vie, lui qui, quelques secondes après la «découverte» des clous sur la piste de l’Aéroport de Mohéli, s’était mis à pérorer comme une pute sur Facebook et à qualifier juridiquement des faits censés relever d’une enquête criminelle. Ce qui lui a valu son joyeux surnom de «Maître Clous». Où a-t-il vu «un attentat» ou «une tentative d’attentat»? Comment fait-il pour être aussi nullissime et sans honneur?

Réellement, Saïd Larifou dit «Maître Clous» croit qu’en mendiant à droite et à gauche dans les allées du pouvoir, et en arnaquant les pauvres habitants du Sud de la Grande-Comore qui cherchent des visas Schengen pour aller en France, il va pouvoir rembourser ses dettes de 2 millions d’euros au Fisc à la Réunion, sans compter ses nombreuses autres ardoises, dont celle de 27 millions de francs comoriens à Foumbouni? Même à Mayotte, des personnes physiques lui réclament de l’argent, lui qui a ruiné cette femme du Nord de la France en lui faisant des yeux de merlan frit et en lui montrant sa collection de bouteilles d’eau minérale pour mieux lui prendre jusqu’à son dernier centime, sans jamais se marier à elle comme il l’avait promis.

Par ARM

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© www.lemohelien.com – Lundi 26 février 2018.


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