Kiki, Mohamed Anrifi et Hamada Madi Boléro

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Kiki, Mohamed Anrifi et Hamada Madi Boléro

Bataille de chiffonniers dans les rangs des voyous

Par ARM

      Comme chaque fois que le fugitif international Hamada Madi Boléro se trouve à Mohéli, naturellement pour ses magouilles politiciennes malodorantes et nauséabondes, toujours dans l’espoir de se refaire une impossible virginité politique, les messages tombent par dizaines. Et c’est toujours: «Le fugitif est à Mohéli», «j’ai croisé le fugitif», «j’ai vu le fugitif», «le fugitif est ici», «sais-tu que le fugitif glande ici?», etc. En janvier et février 2018, le fugitif international Hamada Madi Boléro a appelé ceux des Mohéliens qu’il croit les plus naïfs à soutenir les «Asseyez-vous et taisez-vous!» de son «pouvoiriste» polygame Assoumani Azali Boinaheri dit Bakapihi, «Le Père qui ne prépare jamais à manger», qu’il a trahi charnellement dans une suite d’hôtel de Dubaï. Il a tout fait pour soutenir un projet détesté par Mohéli, mais comme dit ce juriste ayant pignon sur rue à Moroni, «Hamada Madi Boléro n’est pas seulement négatif; il est la négation même. C’est un poison. Comment fait-il pour être aussi mauvais?».

Oui, le fugitif international Hamada Madi Boléro est à Mohéli. Il veut récupérer la colère des Mohéliens pour mieux la détourner et l’instrumentaliser, lui qui a fait allégeance et juré «fidélité» (et Dubaï, alors?) à son «concubinocrate» Assoumani Azali Boinaheri. Il est ce qu’il est, englué dans la haine malfaisante et dans la malfaisance haineuse, mais sait que personne à Mohéli ne veut entendre parler de son compatriote du Hambou qu’est le tyran de Mitsoudjé. Il fait semblant d’être du côté des Mohéliens, qui pleurent leurs enfants forcés à boire de l’urine de soldats grands-comoriens, qui ont pissé sur eux, les ont déportés à la Grande-Comore, où ils sont arrivés menottés et déshabillés.

Il se trouve à Mohéli à un moment où les Mohéliens pleurent et prient. Le but du fugitif international Hamada Madi Boléro est de faire de la démagogie, surtout à Djoiezi, la capitale mondiale de la haine, détestation et mépris envers le «ventriote» Assoumani Azali Boinaheri. Devant les Mohéliens, il dit qu’il vaut mieux éviter la contestation car elle entraînera des représailles de la «Ripoux-blique» de Mitsoudjé, alors qu’en réalité, il a entamé sa démarche en sachant que le «saigneur» Assoumani Azali Boinaheri a une peur bleue des malédictions populaires.

Pour autant, le fugitif international Hamada Madi Boléro avait minimisé la réaction stupide de son pire ennemi sur place: le «Colonel» Mohamed Anrifi Moustoifa Bacar Madi dit José ou Obama, et désormais surnommé le «Couillonnel», par les militants mohéliens des droits de l’Homme. Rappel. Sous le règne maudit des Mohéliens de Bête-Salam, le fugitif international Hamada Madi Boléro avait préparé un décret de mise à la retraite de José. Il devait l’inclure dans une pile de dossiers qu’il voulait faire signer à Ikililou Dhoinine sans que ce dernier ne s’en rende compte. Mais, Ikililou Dhoinine était averti de la manœuvre et avait déchiré le papier devant le malfaiteur. José l’a appris et, depuis, il est prêt à arracher de ses propres mains le cœur du fugitif international Hamada Madi Boléro et à le manger cru. Il l’a déclaré publiquement devant moi face à la maison de Mattoir Ahmed, à Fomboni, le 2 janvier 2016. Il pourrait le tuer un jour.

Alors, quand ses mouchards sont allés lui parler de la bougeotte du fugitif international Hamada Madi Boléro à Mohéli, le «Couillonnel» a vu rouge. Il a même failli arrêter le traître de Chouani qui se fait passer pour un Mohélien, mais a reçu un appel téléphonique très sévère de Bête-Salam. Le Tout-Mohéli l’a entendu crier au téléphone, lui qui se passe de toute discrétion quand il est en communication. Il disait à son interlocuteur qu’il avait juste mis en garde le fugitif international Hamada Madi Boléro, qu’il accuse de comploter contre le «saigneur» Assoumani Azali Boinaheri.

En réalité, José a complètement perdu les pédales. Il emprisonne tout ce qui bouge à Mohéli, y compris le militant historique Abdou Adinane Bacar, son propre cousin, qui a perdu la vue en 2013, suite aux coups de matraques qu’il avait reçus sur la tête lors du mouvement Embargo. Il a également demandé aux gendarmes l’arrestation de son propre cousin Nasser Attoumane Bacar, dont le prêche à la mosquée a porté sur les vertus et bienfaits de la paix, estimant que son dictateur était visé. Or, c’est le Mufti, ami du «concubinocrate» Assoumani Azali Boinaheri, qui a demandé aux Imams de parler de la paix dans leurs prêches. Toute honte bue, Nabhane, le Cadi de Fomboni avait convoqué pour explication Nasser Attoumane Bacar, au prétexte qu’il a parlé de paix à la mosquée!

Naturellement, José continue à faire une fixation haineuse sur son ennemi intime: Elamine Ali Mbaraka dit Aboul-Khaïr, ancien Maire de Fomboni, dont la plupart des amis et proches ainsi que le mécanicien ont été jetés en prison sans jugement. Elface Charif est très engagé dans la dénonciation des «Asseyez-vous et taisez-vous!». Il avait organisé une réunion chez lui, et cela avait poussé José à vouloir arrêter son épouse, une nièce de son cousin Abdou Adinane Bacar. L’épouse d’Elface Charif avait commis quel crime pour être arrêtée?

José veut arrêter de nouveau ses ennemis Elamine Ali Mbaraka et Elface Charif. Elamine Ali Mbaraka est un élu du Conseil municipal de Fomboni, et son copain Elface Charif un Conseiller de l’Île de Mohéli. Les deux élus jouissent d’immunités pour tout ce qui touche leurs activités politiques. Or, le «Couillonnel» veut les déporter en Grande-Comore, sans en mesurer les conséquences désastreuses. Il est fou!

L’homme malade de Mohéli a rencontré Kiki, l’ancien docker de Dunkerque, toujours en séjour à Mohéli pour l’affaire des clous à l’Aéroport de l’île. Il lui a demandé la suppression de la Police municipale de Fomboni, ville dont il a déclaré la destitution et la lapidation du Maire, opposé aux «Asseyez-vous et taisez-vous!». Kiki, l’ancien docker de Dunkerque, lui signala qu’il ne comprenait pas une demande de suppression de postes, à un moment où il fallait augmenter les effectifs. Face à son insistance, Kiki, l’ancien docker de Dunkerque, a lancé méchamment: «On m’a déjà signalé ton insolence». Après avoir entendu cette réplique, le «Couillonnel» a pris la fuite Gros-Jean comme devant.

Kiki, l’ancien docker de Dunkerque, est donc à Mohéli. Il croit pouvoir empêcher les Mohéliens de faire des tracts et des graffitis contre la «Ripoux-blique» de Mitsoudjé. Il est en train de monter des milices comme celles qu’il a créées à Moroni, mais connaît très mal les Mohéliens et leur mentalité aux arêtes vives. Il laissera des plumes à Mohéli, terrain miné, que personne ne peut se targuer de contrôler ou de maîtriser.

En attendant, les appels téléphoniques à haute voix du «Couillonnel» à travers la ville de Fomboni font jaser le Tout-Mohéli, qui s’interroge sur la santé mentale du personnage, même si on sait ce qu’il en est.

Par ARM

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© www.lemohelien.com – Lundi 26 février 2018.


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