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Le Président Ikililou Dhoinine répond à Azali Assoumani

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Le Président Ikililou Dhoinine répond à Azali Assoumani

Le chef de l’État le met en garde dans un discours historique

Par ARM

  C’est ce qu’on appelle trivialement «la réponse du berger à la bergère». En effet, un mois, jour pour jour, avant son départ de Beït-Salam, ce mardi 26 avril 2016, le Président Ikililou Dhoinine a prononcé l’un de ses discours les plus importants de son mandat. Sans exagération aucune, on peut déjà parler d’un discours historique. Naturellement, son ton, sa tonalité et sa teneur permettent de constater que l’heure n’est pas à la complaisance démagogique et aux flagorneries, mais à la responsabilisation, parce que l’État comorien ne peut pas laisser le danseur de bumping de rue Azali Assoumani se répandre en discours haineux et irresponsable dans tout un pays pour véhiculer un message de mort et destruction au cas où la décision qui sera rendue par la Cour constitutionnelle ne sera pas à son goût de «Président» des affichages pharaoniques dans la rue à défaut de redevenir un Président pour de vrai. La répétition délibérée de l’expression «communauté internationale», plusieurs fois répétée, signifie dans le discours présidentiel que les mots haineux du danseur de bumping de rue Azali Assoumani envers la communauté internationale ont été entendus en haut lieu et n’ont pas plu.

  Comme les Comoriens le savent, le danseur de bumping de rue Azali Assoumani brandit une vraie menace de guerre civile au cas plus que probable où il sera vaincu par le Droit. Comme il a une peur bleue de perdre l’élection et comme il sait qu’il va la perdre, il profère menace sur menace de chaos, et s’en prend à la communauté internationale avec une irresponsabilité qu’on n’aurait jamais soupçonnée chez quelqu’un qui avait déjà été Président de la République et qui doit attendre 2031 pour tenter de le redevenir si le cœur lui en dit. Eh bien, sans prononcer son nom, le Président Ikililou Dhoinine l’a mis en garde contre tout acte de violence et de barbarie visant à semer la haine et la zizanie entre Comoriens, et a fait état de sa détermination pour faire respecter les normes pertinentes du Droit de la République et pour faire prévaloir l’unité et la cohésion nationales. Le chef de l’État a dit être «intraitable» envers les fauteurs de troubles, et a souligné sa volonté de déployer tous les moyens de l’État pour que, au moment où la Cour constitutionnelle rendra sa décision, il ne se trouve personne pour faire des bêtises. Le discours du Président a été ferme et a été prononcé le jour-même où a été dévoilée une partie du pacte de sang et de mort conclu par le danseur de bumping de rue Azali Assoumani et le vendeur de rêves insensés Ahmed Sambi pour plonger les Comores dans la guerre civile et la division, et la paix et la sécurité du monde dans l’incertitude la plus dangereuse. Les premières réactions recueillies font état de la colère d’Azali Assoumani et de son «ami» Ahmed Sambi. Il est à espérer que les Mohéliens de Beït-Salam ont compris le sens de ce discours historique. Au fait, où est le premier des Mohéliens de Beït-Salam? Est-il toujours en fuite?

Par ARM

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© www.lemohelien.com – Mercredi 27 avril 2016.


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