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La dictature lave plus blanc l’argent sale international

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La dictature lave plus blanc l’argent sale international

La dictature et ses relais, impliqués dans ce blanchiment

Par ARM

       Dans les milieux autorisés, on ne parle plus que de l’implication de l’instituteur autoproclamé «juriste», Nourdine Abodo, surnommé Satan par les magistrats, l’Intrigant par les avocats, l’Infâme par le peuple, le Serpent à lunettes à Bête-Salam et le Vénérable Aîné par le boxeur-catcheur Saïd Ahmed Saïd Ali, mais aussi Ibrahim Ali Mzimba, tel responsable de très haut niveau d’Exim Bank et du Procureur Ahmed Abdou dans le blanchiment de grandes quantités d’argent sale à Exim Bank.

Ces gens-là arrivent à y retirer régulièrement et par tranches des quantités imposantes de millions de francs comoriens. C’est très grave parce que cette activité criminelle va tuer le secteur bancaire aux Comores. Comment et pourquoi la Banque centrale des Comores (BCC), dirigée par un pantin obséquieux du dictateur Assoumani Azali Boinaheri, a pu laisser passer des transferts de milliards de francs comoriens avec un objet de transfert suspect? C’est à ce niveau que Nourdine Abodo a apporté sa protection et sa caution, avec le soutien d’Ahmed Abdou, le Procureur. Pour sa part, Ibrahim Ali Mzimba, incapable de télécharger un Règlement intérieur de Barreau et de faire du copier-coller pour celui de Moroni, a quant à lui, été identifié dans ces mouvements criminels d’argent sale.

En vertu des Statuts de la Banque centrale des Comores, de l’Accord de coopération monétaire entre la République fédérale islamique des Comores et la République française en date du 23 novembre 1979 et de la Convention des Comptes d’opérations entre les Comores et la France du 23 novembre 1979, la Banque de France a un droit de regard sur les transactions financières et monétaires internationales des Comores, et devra procéder à des vérifications et à des enquêtes afin de pouvoir refuser que la Banque centrale des Comores puisse à nouveau abriter et cautionner des activités illicites de la dictature via Exim Bank en blanchissant de l’argent sale.

Qu’est-ce qui arrêtera la dictature d’Assoumani Azali Boinaheri dans le Mal?

Par ARM

Le copier-coller a définitivement tué la blogosphère comorienne. Cela étant, il est demandé amicalement aux administrateurs des sites Internet et blogs de ne pas reproduire sur leurs médias l’intégralité des articles du site www.lemohelien.com – Il s’agit d’une propriété intellectuelle.

© www.lemohelien.com – Vendredi 28 août 2020.


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