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Kiki, mort selon la rumeur, a démenti sa propre mort

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Kiki, mort selon la rumeur, a démenti sa propre mort

Il dément sa propre mort par une photo de cadavre déterré

Par ARM

     Dans la journée du dimanche 10 juillet 2022, le correspondant de votre site préféré au Nord de la Grande-Comore nous apprenait la folle rumeur sur «la mort» de Kiki, ancien maître-nageur entre Le Havre et Dunkerque, chef des escadrons de la mort, le plus grand voleur des Douanes des Comores, dont il avait été le Directeur général, propriétaire d’une boîte de nuits en France, l’un des organisateurs et chefs d’orchestre de la fraude électorale à «104%» de 2016, le «ministrillon» de l’Intérieur qui, le 19 mai 2018, a assigné à résidence anticonstitutionnellement, illégalement et inhumainement le Président Ahmed Abdallah Mohamed Sambi, parce que se croyant l’égal de Dieu, au-dessus de toute la race humaine.

Sans aller vraiment loin, et sans oser dépasser certaines limites «déontologiques», nous avouons tous, tous, tous, avoir le regard posé sur la femme d’autrui, faire tout pour lui montrer notre collection de bouteilles d’eau minérale, faire de la poésie en son honneur et en son hommage, mais, lui, a introduit la polyandrie aux Comores, en se mariant, en décembre 2019, à une femme ni divorcée, ni répudiée, qui avait déjà son mari, qui refuse toujours de se séparer d’elle. C’est dire que la rumeur sur «la mort» de Kiki porte sur une créature abjecte, un filou, un voleur, un assassin qui dirige des escadrons de la mort, qui terrorise les gens, l’un des pires malfaiteurs des Comores, l’enfant qui s’est immoralement déclaré d’une «mère» qui n’est pas la sienne, dans l’unique but d’acquérir illégalement la nationalité française. Ce Kiki-là, on le sait gravement malade, et on le dit même en soins intensifs. Il a démenti sa propre «mort» en publiant la photo ci-haut en «homme pieux», vivant dans la crainte de Dieu.

Cette photo fait rire. D’abord, Kiki a une tête de cadavre déterré. Ensuite, on voit partout autour de lui des versets du Coran. C’est aujourd’hui, alors qu’il est mourant, qu’il se souvient du Coran et de Dieu? Sa brusque tartufferie nous renvoie au phacochère, de la famille des cochons, que l’écrivain sénégalais Birago Diop présente sous les traits d’un marabout arborant un chapelet de gigantesques dimensions, un bonnet de taille monstrueuse et un boubou très voyant afin de donner les apparences de la religiosité et de la piété, mais après avoir perdu le pouvoir: «Tel est le roi sans trône. Le roi déchu se fait marabout. Confit en dévotion, il recherche dans la religion sa supériorité perdue. Son gros chapelet, son grand bonnet, son boubou voyant en imposent au commun. Sa splendeur passée, croit-il, ne meurt pas ainsi entièrement, puisque l’on parle encore de lui et qu’on le vénère. Sa dévotion n’est qu’extérieure. Rendez-lui son trône, il oublie ses prières. Un roi ne peut être religieux»: Birago Diop: Les Contes d’Amadou Koumba, Présence africaine, Paris, 1961, p. 163.

Même entouré de versets du Coran, Kiki a la tête d’un cadavre déterré. Qu’on se le dise! En tout cas, son enterrement sera celui des ambitions «politiques» du faussaire, bordelier et proxénète Ibrahim Ali Mzimba, qui a le béguin pour lui et qui comptait sur l’association de leur argent sale pour «rebondir» en politique. En d’autres termes, le faussaire, bordelier et proxénète Ibrahim Ali Mzimba a planté ses espoirs dans un cimetière. Il est devenu ce que les Mohéliens appellent «un cultivateur de cimetière». Affaire à suivre…

Par ARM

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© www.lemohelien.com – Lundi 11 juillet 2022.


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