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«J’ai vu Untel avant toi. Il est pour le dialogue national»

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«J’ai vu Untel avant toi. Il est pour le dialogue national»

Boléro citait des «accords de principe» fictifs et imaginaires

Par ARM

       Un fieffé menteur, ce fugitif international Hamada Madi Boléro-là. Oui, le fugitif international Hamada Madi Boléro est né menteur et mourra menteur, dans un océan de mensonges, non loin d’un linceul de mensonges et d’un cercueil de mensonges. Il doutait que son «monologue national des sourds» était du gnangnan et de la gnognotte, tant sa personne méprisable et méprisée, haïssable et haïe, détestable et détestée est vomie par les Comoriens, pendant que dans les chancelleries, on daube sec sur sa prétendue «intelligence». Surnommé «Makridine», «Le Religieux de la Magouille», il confond «intelligence» et «tromperie» par la ruse usée jusqu’à la trame.

Voici ce qui s’est passé. Deux acteurs politiques majeurs se rencontrent par hasard à l’Aéroport de Hahaya dans l’attente d’un vol en provenance de Paris devant ramener des proches. Quand ils engagèrent la discussion sur le «monologue national des sourds» mort-né du fugitif international Hamada Madi Boléro, chacun dit à l’autre: «Mais, ce bandit m’a dit que tu avais donné ton accord pour son dialogue national avant qu’il ne vienne me voir. Donc, c’est faux? Donc, tu ne lui as donné aucun accord de principe? Ce menteur va mourir mal».

Comment pouvait-il engager un «monologue national des sourds» en mentant de manière aussi infantile et vulgaire, dans un pays aussi petit, où les uns et les autres vont se rencontrer et en parler, où tout se sait?

En hommes d’État prudents, les deux politiciens se rencontrant à Hahaya appelèrent d’autres acteurs politiques, et se rendirent compte que partout, le fugitif international Hamada Madi Boléro avait menti de la même façon. Il est un habitué du fait.

En 2000, pour se faire nommer Premier ministre en faisant éjecter Bianrifi Tarmindhi, qu’il disait lui-même «fatigué, très fatigué», il avait pratiqué son «mensonge à l’envers», en manipulant l’ancien Vice-président Mohamed Hassanaly et l’ancien Député Mohamed Fazul, les deux principaux interlocuteurs mohéliens de la junte militaire chargés de la négociation de l’Accord-cadre de Fomboni du 17 février 2001 en vue de la réconciliation nationale d’un pays détruit par la crise séparatiste ayant commencé à Anjouan le 16 février 1997. Il en parla d’abord à Mohamed Fazul, de Boingoma comme lui, tout en lui disant que quand il verrait Mohamed Hassanaly, il lui dirait qu’il ne l’avait pas encore vu…

Ces magouilles confirment toute la véracité et la pertinence du tract patriotique, anthologique et historique «Kala Wa Dala» du 1er mai 2014, sur lequel il était sadiquement présenté par les jeunes de Djoiezi en ces termes absolument fondés: «Boléro, Directeur de Cabinet à la Défense, surnommé Dracula. C’est un fantôme, un caméléon, un escroc, un menteur. Il n’a pas d’identité fixe, il change en fonction du pouvoir. Ses alliés (Moishikundi wayi conteneri ya banatacha)Le petit groupuscule qui se réunit devant le conteneur du père de Natacha» (Youssoufa Madi, de Djoiezi)] ne le soutiennent plus, ils le haïssent. Ce Monsieur n’est ni un Mohélien, ni un Grand-Comorien vu ses mentalités (moyenne: 0,5/20). Mention: Traître».

À Poteau Central, haut lieu des intrigues sociales et politiques à Djoiezi, les patriotes des lieux le surnomment également Ebola. Cherchez l’erreur!

Par ARM

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© www.lemohelien.com – Dimanche 29 août 2021.


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