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Hamada Madi Boléro, fervent soutien de l’Axe du Mal

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Hamada Madi Boléro, fervent soutien de l’Axe du Mal

Il bénit l’alliance entre Azali Assoumani et Ahmed Sambi

Par ARM

  Comme le criminel finit toujours par revenir sur le lieu de ses crimes, Hamada Madi Boléro, l’ancien fugitif international, a fini par revenir sur le lieu de ses derniers crimes ou finira par y revenir. Son téléphone lui a permis de régler les derniers détails de son dernier crime aux Comores. Il est rentré aux Comores comme s’il revenait d’un pèlerinage à La Mecque et Médine, sans la moindre gêne, sans le moindre problème de conscience. Point n’est besoin d’être polytechnicien pour imaginer facilement que ses embrassades avec Azali Assoumani n’en finissaient pas. Pourtant, son ancien ennemi et nouvel «ami» Ahmed Sambi a choisi le jour de son retour pour manifester sa plus grande crainte sur la survie de l’Axe du Mal qu’il constitue depuis avril 2016 avec Azali Assoumani. Plus intéressant encore, Ahmed Sambi et Azali Assoumani ont choisi le jour du retour de l’ancien fugitif international Hamada Madi Boléro pour faire une nouvelle «Hitma» à coups de versets du Coran pour demander à Dieu de faire mourir celui qui trahira l’autre. Quand on est entre amis, pourquoi faire des séances de «Hitma» chaque fois que le soleil se lève à l’Est? En réalité, Ahmed Sambi ne se fait pas des illusions sur la détestation que nourrit Hamada Madi Boléro à son égard, sachant qu’en retour, sa propre haine mortelle envers le Mohélien de Beït-Salam est un secret de Polichinelle. Pourtant, Hamada Madi Boléro avait dû se rendre chez Ahmed Sambi à trois reprises pour le rassurer. Ces derniers temps, les entretiens téléphoniques entre les deux anciens ennemis ont permis à chacun de dorloter l’autre, de lui donner le sein et le biberon et de lui faire la bise sur les deux joues, sur fond de protestations d’amitié et de fidélité.

  Dans le microcosme politique comorien, une petite musique lancinante se fait entendre avec insistance: «Pour qu’il puisse y avoir du courant électrique, il faut un pôle positif et un pôle négatif. Or, Azali Assoumani et Ahmed Sambi sont tous deux des pôles négatifs. Le courant électrique ne passera pas. Azali Assoumani voulait se servir d’Ahmed Sambi, s’en est servi et va le jeter comme un kleenex. Quand il présentait ses remerciements, il n’a pas cité ne serait-ce qu’une fois Ahmed Sambi». Il faut faire très attention parce que l’Axe du Mal n’inclut pas qu’Azali Assoumani, Ahmed Sambi, Hamada Madi Boléro et Beït-Salam; il y a aussi et surtout l’Iran. Oui, il y a l’Iran aussi. Et qui dit Iran dit forcément Ahmed Sambi, chef du prosélytisme chiite aux Comores. Et l’Iran n’est pas un pays avec lequel on conclut un accord qu’on jette dans une poubelle le lendemain. Pis, Azali Assoumani et Ahmed Sambi n’ont-ils pas dit aux membres dévoyés de la Cour constitutionnelle que c’est l’Iran qui va leur payer leurs appartements clés en main dans les beaux de quartiers de Paris? Ont-ils menti en faisant une telle promesse? Qu’ils le disent publiquement. Les Comoriens doivent le savoir.

  En réalité, c’est l’ancien fugitif international Hamada Madi Boléro qui a demandé à Azali Assoumani de maintenir sa relation avec Ahmed Sambi, tout en se montrant un peu discret pour sauver certaines apparences diplomatiques. Il pousse même Azali Assoumani à accorder à Ahmed Sambi tout ce qu’il demande pour consolider leur juteux business. À Paris, l’ancien fugitif international Hamada Madi Boléro a eu des rencontres avec de louches personnalités étrangères qui l’ont aidé à rester dans cet esprit, «dans l’intérêt de tous». «Pragmatique», l’ancien fugitif international Hamada Madi Boléro n’a pas mis du temps à comprendre la subtilité du message. Donc, qu’on ne compte pas sur lui pour semer la zizanie dans un business qui lui rapporte gros à titre personnel. Quant aux vieilles haridelles mohéliennes arrivées à Moroni le mardi 17 mai 2016 pour remettre à Azali Assoumani la liste des membres de «leur» gouvernement d’Union, elles ont commis une grave erreur en oubliant comment le même Azali Assoumani les avait roulés dans la farine en 1999-2000, en chassant du Département du Premier ministre le FPC Bianrifi Tarmindhi pour nommer à sa place le pire ennemi du FPC: l’ancien fugitif international Hamada Madi Boléro. L’Histoire a la détestable habitude de bégayer, et les bégaiements de l’Histoire sont toujours terribles.

Par ARM

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© www.lemohelien.com – Jeudi 19 mai 2016.


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