Hamada Boléro sévèrement critiqué par une Mohélienne
Affolé, il mobilise les siens et demande l’aide de la «Députée»
Par ARM
Ha! Cette Djoiezienne vivant à l’étranger a lancé une charge très sévère contre le fugitif international Hamada Madi Boléro, lui marchant sur la tête et lui envoyant un seul message: les Mohéliens n’approuvent pas son banditisme. Ce samedi 29 août 2020, le petit message audio d’une minute fait rage chez les Mohéliens, qui s’en donnent à cœur joie: «Mohéli est l’île où nous n’avons jamais progressé et où nous ne progresserons jamais à cause de mauvais dirigeants. Boléro est parti manger pendant 5 ans, a le ventre gonflé et est retourné les mains vides à Mohéli en apportant un ventre gonflé. Il est arrivé à l’aéroport, et les Mohéliens sont allés lui mettre au cou des couronnes de fleurs. Boléro a osé ouvrir sa bouche pour dire qu’il est content des bienfaits sans limites et qu’il va en parler. Oui, c’est normal qu’il va en parler parce qu’il est parti errer à l’étranger, et est rentré bredouille. Il n’a rien fait chez lui à Boingoma, ni à Djoiezi, ni à Mohéli. Il n’a rien fait, alors qu’Azali ne veut même pas entendre parler de Mohéli, et c’est lui qui, le premier, va suivre Azali, alors qu’Azali travaille pour Anjouan et la Grande-Comore, et a repris ce qui était à Mohéli, et le voilà parti soutenir Azali, alors qu’il n’a rien ramené à Mohéli. Il n’a rien, rien, rien, rien du tout ramené à Mohéli».
Piqué au vif et pris de panique, le fugitif international Hamada Madi Boléro a pris contact avec la «Députée» et nièce de la Djoiezienne pour lui demander de dire à Tantine de ne pas faire des vagues, ajoutant qu’il souhaiterait même que son numéro de téléphone lui soit communiqué afin de l’appeler et faire arrêter cette critique mortelle, qui plaît à tous les Mohéliens et à toutes les Mohéliennes. Toujours dans la panique, le fugitif international Hamada Madi Boléro a mobilisé deux de ses proches, qui ont appelé Abeïd Ahamadi Madi, installé en France, qui a mis en ligne la bande audio, le suppliant en ces termes: «Nous devons arrêter toute critique contre Boléro, pour ne pas influer négativement sur sa nomination vraiment proche. Nous pourrions le critiquer comme nous voulons, mais attendons d’abord sa nomination à la tête d’un ministère. Ne le critiquons pas avant sa nomination».
Donc, c’est vrai? Donc, pendant que le fugitif international Hamada Madi Boléro jure hypocritement qu’il n’est pas intéressé par un poste de ministre, il manœuvre sous les eaux boueuses pour avoir un poste de ministre? Et puis, ce qui est intéressant dans l’affaire, c’est que l’attaque en règle contre l’homme au ventre de femme enceinte vient d’une femme qui a, certes, la fibre militante, mais qui n’a pas l’habitude de faire du barouf et du grabuge sur Internet. Dès lors, le fugitif international Hamada Madi Boléro, a compris une chose: même les femmes qui n’ont pas l’habitude de lui exprimer leur dégoût le font en l’accusant de ne rien faire de bon pour Mohéli et de soutenir un dictateur qui ruine et désavantage Mohéli. Cela veut dire que, lors des élections législatives de 2004, Mohamed Larif Oucacha – financé clandestinement par le putschiste Assoumani Azali Boinaheri –, ses partisans et de nombreux Mohéliens avaient raison de dire que le fugitif international Hamada Madi Boléro ne devait pas être élu Député à cause de sa haine envers Mohéli et de son habitude à travailler avec les pires ennemis de Mohéli.
C’est toujours bon à savoir.
Par ARM
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© www.lemohelien.com – Dimanche 30 août 2020.
