En 2001, Boléro était Grand-Comorien et non Mohélien
Mohélien de circonstance de temps, Grand-Comorien de lieu
Par ARM
Le fugitif international Hamada Madi Boléro, Mohélien circonstanciel de temps et Grand-Comorien circonstanciel de lieu, veut supprimer le 17 février 2001 du calendrier. Il nie tous les acquis de l’Accord-cadre de Fomboni du 17 février 2001, et tire à balles réelles sur la présidence tournante parce qu’il sait qu’il ne sera jamais élu, même en l’an 3998.
Son ignorance de l’Histoire profonde de Mohéli et son mépris envers cette île tiennent justement de l’absence chez lui d’une fusion dans et avec l’île de Djoumbé Fatima. Qu’il sache alors que si les compromis du Nouvel Ensemble comorien (présidence tournante, renforcement de l’autonomie des îles, équilibre entre les îles) n’étaient pas obtenus lors des discussions informelles en amont de cet Accord-cadre, celui-ci n’aurait jamais été signé et le retour effectif d’Anjouan et de Mohéli dans le giron des Comores n’aurait jamais été possible.
Les délégations de Mohéli et d’Anjouan auraient même caviardé la cérémonie officielle Place de l’Indépendance, à Fomboni. Il se trouve que le principe de la présidence tournante avait été entériné par Anjouanais et Mohéliens à Nioumachoua au cours des derniers jours des discussions informelles, si ce n’est la veille même de la cérémonie. Le fugitif international Hamada Madi Boléro n’y était pas, comme il n’avait pas participé aux concertations intra-mohéliennes. Il était Grand-Comorien, tout comme il avait participé aux négociations d’Addis-Abeba du côté de la délégation de la Grande-Comore. Aujourd’hui, toute honte bue, il s’affiche Mohélien, et demain, Martien.
Par ARM
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© www.lemohelien.com – Lundi 1er mars 2021.
