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Elamine Ali Mbaraka «Aboulkhaïr» défie la dictature

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Elamine Ali Mbaraka «Aboulkhaïr» défie la dictature

Il dit à la dictature que le peuple n’a nullement peur d’elle

Par ARM

     La vidéo ci-dessus montre Elamine Ali Mbaraka dit Aboulkhaïr, ancien Maire de Fomboni, Mohéli, dans l’une de ses belles prestations audiovisuelles, un art dans lequel il excelle. Il prêche les vertus du nationalisme, rappelant que la foi en Dieu suppose l’amour envers la patrie. Il dit n’avoir pas peur de la dictature, et prêche ce courage à tout le peuple. Il prêche la libération des Comores de la dictature actuelle, rappelant que le dimanche 24 mars 2019, il n’y a pas eu d’élections aux Comores, mais du vol sans intelligence, ni élégance.

Il cite nommément le Colonel Saïd Hamza comme l’organisateur du vol des urnes par l’Armée dans les bureaux de Mohéli, en faveur du dictateur fou de Mitsoudjé, qui l’avait spécialement dépêché à Mohéli, et de Mohamed Saïd Fazul dit Babadi, de Boingoma comme lui. Pour le «Président de “Rue publiqueˮ», plus que jamais, l’heure est à la mobilisation, même s’il s’attend, dès la diffusion de cette vidéo, à son arrestation et même à son assassinat. Il déplore l’assassinat des jeunes officiers au Camp militaire de Kandani le jeudi 28 mars 2019, et la descente aux enfers de tout un pays.

Dans cette belle prestation, il interpelle certaines des têtes les plus haïes, détestées, méprisées et maudites des Comores actuelles: Kiki, le Procureur de la République de Moroni et le mort-vivant et «pouvoiriste» polygame fou Assoumani Azali Boinaheri dit Bakapihi, «Le Père qui ne prépare jamais à manger». Il rappelle à chacun de ces sauvages que les Comores sont pour tous les Comoriens, et que la roue de l’Histoire tourne de manière inexorable.

Elamine Ali Mbaraka pousse un cri du cœur et de sang en faveur des journalistes qui ont mis en danger leur propre vie pour que les Comoriens et le reste du monde sachent ce que la dictature de Mitsoudjé fait subir à tout un peuple. Il cite en particulier les journalistes suivants pour leur courage et leur dévouement pour la vérité: Mme Faïza Soulé Youssouf, Abdallah Agwa, Oubeidi Mchangama Athoumani et Toufé Maecha.

Les Comores seront libérées de la dictature de Mitsoudjé. Les Comoriens ne finiront pas cette année 2019 avec à la tête de leur pays le répugnant «concubinocrate» Assoumani Azali Boinaheri. Même si nous devons aller à la mort, nous débarrasserons notre pays de cette horrible et ignoble créature.

Par ARM

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© www.lemohelien.com – Jeudi 4 avril 2019.


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