Chayhane paie Nono pour insulter Houmed Msaïdié
Saïd Chayhane crache et vomit sur RADHI et Orange
Par ARM
L’affaire fait rire. Elle est celle d’un violeur qui, quand il ne peut pas violer les femmes d’autrui, dehors, viole celles de sa propre famille.
Comme cela est de notoriété publique, l’opposition comorienne a refusé de participer à la mascarade électorale de janvier et février 2020, et la snobe avec le plus profond des mépris. Dès lors, les voleurs de la prétendue Mouvance présidentielle se retrouvèrent entre eux: Confrérie des Renégats et des Criminels (CRC), RADHI et Orange. Comme les violeurs ne peuvent pas violer les femmes d’autrui, ils violent celles de leur propre basse-cour, dans une ignominie totale. Pour preuve, dès le premier tour de «l’élection par nomination» du 19 janvier 2020, la CRC s’attribua sans la moindre élégance 16 sièges sur 33, en piétinant et écrasant non pas l’opposition, mais ses propres domestiques du RADHI et Orange. Saïd Ali Saïd Chayhane, chargé d’élever les bâtards que son maître, le poète Assoumani Azali Boinaheri, répand à droite et à gauche et nommé ministre de la Pauvreté et de la Faillite pour cela, a placé son propre poulain à Moroni Nord, au grand dam de Kiki, fraîchement marié.
Aujourd’hui, le feu brûle la case de la dictature. Saïd Ali Saïd Chayhane, l’éleveur de bâtards dictatoriaux, se sent tellement protégé par son chef qu’il est en conflit ouvert avec les autres mendiants, y compris avec Mohamed Elamine Souef, bien que sachant que ce dernier est le cousin de son chef, le chanteur électoral divin Assoumani Azali Boinaheri. Saïd Ali Saïd Chayhane ne s’entend avec personne. Il a même payé le mercenaire et griot Nono pour qu’il injurie, insulte, traîne dans la boue et dénigre Houmed Msaïdié Mdahoma, le ministre des Tontines («Chikowa» ou «Mtsango»), l’insulteur public et aboyeur officiel. Houmed Msaïdié Mdahoma est tellement déçu qu’il veut démissionner, mais ses pique-assiettes qui ont trouvé à manger auprès de la dictature de Mitsoudjé veulent continuer à manger. Un Nègre, ça ne démissionne jamais. La démission est un chichi et lubie de Blanc. Un Nègre qui démissionne, vous pensez bien…
Le RADHI et Orange chuchotent à haute voix et accusent la CRC des pires vilénies, expliquant que dans des bureaux de vote de plus de 4.000 électeurs inscrits, il n’y a même pas eu 200 votants, et encore. Donc, pour eux, la nouvelle Assemblée n’aura aucune forme de légitimité.
En tout cas, Saïd Ali Saïd Chayhane s’en moque. Il vient même d’inventer un nouveau caprice d’État: il autorise le paiement des salaires en fonction des relations qu’il entretient avec les ministres, étant noté qu’il a des rapports pourris et maudits avec presque tous ses collègues.
Que les loups se dévorent entre eux!
Par ARM
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© www.lemohelien.com – Jeudi 13 février 2020. Par ARM
