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Cet Assoumani Azali-là va mourir tué à Foumbouni

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Cet Assoumani Azali-là va mourir tué à Foumbouni

Il veut s’inviter de force dans la ville, où il est pestiféré

Par ARM

       Depuis le départ des mercenaires des Comores en décembre 1989, les graffitis ont disparu du paysage politique des Comores. Mais, face à la répression sauvage et à l’oppression barbare que subit le peuple comorien depuis le 26 mai 2016, ils ont refait surface. Celui que nous voyons ici est fait à Foumbouni, capitale du Mbadjini, au Sud de la Grande-Comore. On y lit «Pas de Gozibi à Foumbouni!». Gozibi est l’un des dizaines de surnoms dégradants du mort-vivant et «pouvoiriste» polygame fou Assoumani Azali Boinaheri dit Bakapihi, «Le Père qui ne prépare jamais à manger». «Gozibi» signifie «mauvaise peau», et il s’agit d’une une personne à la réputation tellement mauvaise que même quand elle fait le bien, on la voit sous l’angle du mal. Dès lors, appliquée au «concubinocrate» Assoumani Azali Boinaheri, cette expression est très mal employée car elle suggère qu’il ferait le bien, mais que, le peuple comorien, par ingratitude, ne reconnaîtrait pas ses bienfaits. C’est pourquoi cette expression ne plaît pas à Mohéli.

Toujours est-il qu’il est clairement signalé sur tous les murs de Foumbouni, dans la nuit du dimanche 17 au lundi 18 novembre 2019, que la population locale ne veut pas du dictateur fou de Mitsoudjé sur ses terres. En effet, c’est ce lundi 18 novembre 2019 que Foumbouni célèbre l’anniversaire du Prophète Mohammed. Cette ville faite d’honorabilité et de majesté a signifié au dictateur ignorant de Mitsoudjé qu’elle ne veut pas de sa présence chez elle et qu’il n’a pas intérêt à s’y rendre. Or, le «saigneur saignant» Assoumani Azali Boinaheri s’entête et veut s’y rendre par la force. Il est encouragé dans ce sens par le dégoûtant et répugnant Bellou Magochi, le Directeur de son Cabinet chargé de la Défense, un bachibouzouk originaire de Foumbouni, où il est haï et méprisé depuis que, Maire de la ville, il a volé tout l’argent de la caisse municipale. Bellou Magochi, qui s’habille comme un pou et qui ressemble plus que jamais à un cafard, se sent insulté par le bannissement de son chef dans sa ville d’origine.

Or, c’est toute la ville de Foumbouni qui a prononcé le bannissement. D’ailleurs, fait très significatif, le graffiti «Pas de Gozibi à Foumbouni!» est fait sur la place des Koraïchites, l’une des crèmes nobiliaires de la ville. Cela étant, si le bambochard Assoumani Azali Boinaheri se hasarde à se rendre à Foumbouni ce lundi 18 novembre 2019, même protégé par toute l’Armée comorienne et ses tortionnaires saoudiens qui sévissent aux Comores, son corps sera jeté aux requins parce qu’il y aura un bain de sang, la population ayant décidé de mourir dans la globalité mais en le tuant aussi.

Ne perdons pas de vue le fait qu’aucun roquet du tyran n’a pu faire inviter ce dernier dans sa ville ou dans son village d’origine, et que, à Koimbani-Oichili, le détestable berger Djaé Ahamada Chanfi, son «Conseiller diplomatique», est banni pour 5 ans parce qu’il avait eu la faiblesse de croire que sa mendicité lui donnait le droit de contester les décisions communautaires de la ville. Comme le dictateur et ses séides sont bornés, ils sont toujours incapables de tirer la moindre leçon de ce bannissement, devenu national.

Par ARM

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© www.lemohelien.com – Lundi 18 novembre 2019.


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