Assoumani Azali non concerné par le Forum de la Paix
Sa conférence des «broyeurs de fonds», menacée de report
Par ARM
La situation est désespérée, grave, voire gravissime pour le mort-vivant et «pouvoiriste» polygame fou Assoumani Azali Boinaheri dit Pakapihi, «Le Père qui ne prépare jamais à manger». Connaissez-vous la dernière? Au départ, il n’était pas invité au Forum de la Paix de Paris, mais s’y est fait inviter dans l’unique but de sauver sa conférence de «broyeurs de fonds». Celle-ci est gravement menacée de report, et le dictateur fou de Mitsoudjé est en plein désarroi: si report il y a, il se transformera en annulation pure et simple. Du coup, il s’est même déplacé jusqu’à chez ses maîtres du gouvernement du Hedjaz et du Nedjd, et les appelle matin, midi et soir en pleurant pour que la chose ne soit pas reportée. Il a pleuré devant ses maîtres. Les dirigeants du Hedjaz et du Nedjd, qui l’ont toujours soutenu, savent que ce soutien leur vaut la haine des Comoriens et que leur Ambassadeur à Moroni est très détesté des Comoriens. Soilih Mohamed Soilihi l’a dit: les Comoriens ont une relation avec l’Islam et non avec la dictature médiévale qui sévit dans le pays qui abrite les Lieux Saints de l’Islam, à La Mecque et à Médine. Et voilà que les dirigeants bédouins n’en peuvent plus d’être interpellés chaque jour par un Nègre, qui plus est détesté, haï, honni, rejeté, vomi et craché dans son propre pays, malgré les millions de pétrodollars versés sur lui en pure perte.
Au fin fond du désespoir, le «concubinocrate» Assoumani Azali Boinaheri fait du rafistolage. Il va ouvrir un Consulat général à Laâyoune, principale ville du Sahara marocain. Très attaché au Maroc, j’aurais souhaité être Consul général à Laâyoune. Mais, pour faire quoi? Dans cette belle ville, ne vit aucun Comorien et n’y existe aucune activité comorienne. La Convention de Vienne du 24 avril 1963 sur les Relations consulaires énumère en son article 5 quelque 13 fonctions consulaires dont aucune ne peut être exercée par un Consulat général comorien actuellement, faute de Comoriens et d’activités comoriennes sur place. À Marseille, la plus grande ville comorienne du monde, y compris avant Moroni, la capitale des Comores, vit une communauté comorienne qui équivaut à la moitié des Comoriens vivant aux Comores, et ces 350.000 Comoriens n’ont pas de Consulat. Et voilà que le «ventriote» Assoumani Azali Boinaheri va créer un Consulat général pour les clandestins comoriens et africains qui veulent transiter par le Sahara marocain pour se rendre en Europe. C’est beau.
En réalité, c’est pour bénéficier du soutien du Maroc pour le maintien de la conférence des «broyeurs de fonds» que le dictateur fou de Mitsoudjé a imaginé ce machin. Comme le Maroc entretient d’excellents rapports avec la France et le gouvernement du Hedjaz, il se livre à toutes les simagrées pour que le Maroc intervienne auprès du Roi Salman et de son fils Mohamed Ben Salman, afin que ces derniers exercent des pressions sur la France pour que sa conférence ne soit pas reportée, donc annulée. Il faut être vraiment désespéré pour créer un Consulat général là où il n’y aura aucune activité pour le Consul général et son personnel. Que va faire le Professeur Saïd Omar de la région Oichili et de l’Université des Comores, désigné Consul général, dans ce micmac? C’est de la folie pure. Pour une conférence à l’utilité douteuse, ce type est prêt à toutes les folies! Le pauvre chéri! Voilà du carambar!
Par ARM
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© www.lemohelien.com – Jeudi 14 novembre 2019.
