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Assoumani Azali est chassé de la mosquée de Fomboni

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Assoumani Azali est chassé de la mosquée de Fomboni

Humilié à Fomboni, il avait tenté de se consoler à Djoiezi

Par ARM

       Quelle humiliation! Voici une photo, floue. C’est la Mosquée du Vendredi de Fomboni entièrement vide lors de la prière de midi, ce 15 octobre 2021. Quand on a prié dans cette mosquée, on sait que le vendredi, à midi, elle est toujours pleine de fidèles pieux et sincères. Ce vendredi 15 octobre 2021, les Fomboniens, connus pour leur sens de l’honneur et du rejet des mauvais dirigeants, l’ont désertée, «pour ne pas souiller la prière hebdomadaire aux côtés de Satan». «Satan» est le dictateur Assoumani Azali Boinaheri. C’est ainsi que cette mosquée se retrouva vide en quelques secondes, dès que la population apprit que Satan allait s’y rendre pour souiller sa prière. Pour essuyer ses larmes, sans admettre que ce rejet populaire devait l’inciter à faire une introspection et à se conduire en être humain, le dictateur Assoumani Azali Boinaheri se rendit à Djoiezi, où il est encore plus détesté et méprisé que partout ailleurs. On le susurre à Poteau Central, haut lieu des intrigues sociales et politiques à Djoiezi.

Ce millième rejet du dictateur Assoumani Azali Boinaheri dans les mosquées et autres lieux publics aurait conduit tout être humain sain de corps et d’esprit à se poser des questions sur les raisons de son bannissement même dans la mosquée, la Maison de Dieu. Mais, le dictateur Assoumani Azali Boinaheri n’est sain ni de corps, ni d’esprit. Il est fou, détruit par diverses maladies, et est incapable de tracer une ligne de démarcation entre le Bien et le Mal, ignorant la honte et ce qu’il faut faire pour ne pas en être frappé.

En réalité, le dictateur Assoumani Azali Boinaheri et le fugitif international Hamada Madi Boléro s’insultent, se méprisent et se dénigrent en privé, chacun médisant sur l’autre, chacun disant sous le manteau avoir trompé l’autre, mais ces deux serpents vont rester ensemble, même en enfer. Ils ont en commun d’être tellement adeptes de la violence politique et de la fraude électorale qu’ils n’ont jamais entendu parler du peuple, de l’onction populaire par voie des urnes et de la sacralité du suffrage universel. Ils s’enferment dans leur petit cercle, dont ils trahissent toujours les membres, mais prétendent vouloir vivre de politique. Comment peut-on vivre de politique tout en rejetant le peuple et en se faisant rejeter de lui?

Même dans les moments de grande pauvreté, les Comoriens ont toujours accueilli dans l’honneur leur Président dans leurs hameaux, villages et villes, se disant honorés par sa visite. Je me souviens des Djoieziens recevant chez eux dans la ferveur, la dignité et l’honneur le Président Ahmed Abdallah Abderemane de la fin des années 1970 au milieu des années 1980. Aujourd’hui, on voit les Comoriens refuser chez eux un dirigeant fou, le dictateur Assoumani Azali Boinaheri, dont le slogan envers les Comoriens est «Le chien aboie, la caravane passe», traitant ainsi les Comoriens de «chiens», comme c’était le cas le 2 décembre 2018, quelques secondes à peine avant qu’il ne tombe comme une masse devant la foule à l’Université des Comores. Le dictateur Assoumani Azali Boinaheri se trompe lourdement en disant qu’il détient le pouvoir et l’argent et que son rejet mortel par les Comoriens ne le touche pas. Il est le seul dirigeant comorien avec qui le peuple refuse de prier dans les mosquées. N’est-il pas temps pour lui d’arrêter son narcissisme arrogant pour se réconcilier avec un peuple qu’il a trop longtemps et violemment méprisé avec violence? En dehors d’une tombe remplie de son propre sang, où vont le conduire sa violence, son mépris envers les gens et sa violation des normes religieuses, juridiques, sociales et politiques nationales et universelles? Il finira dans une mare de sang, son sang. Ses sorciers de Pemba, Tanzanie, n’y changeront rien.

Par ARM

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© www.lemohelien.com – Dimanche 17 octobre 2021.


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