Assoumani Azali a tué Si Naçr-Ed-Dine Saïd Ibrahim
Ahmed Abdallah dit «Apache» n’est pas sa seule victime
Par ARM
Les propos malheureux du mort-vivant et «pouvoiriste» polygame fou Assoumani Azali Boinaheri dit Bakapihi, «Le Père qui ne prépare jamais à manger», sur l’assassinat horrible et horrifiant et le découpage en petits morceaux par le gouvernement du Hedjaz du journaliste dissident saoudien Jamal Khashoggi ne sont pas le fruit du hasard. Ils sont les propos logiquement tenus par un assassin multirécidiviste, obsessionnel et pathologique, dont la principale victime la plus connue s’appelle Ahmed Abdallah dit «Apache», un officier de l’Armée comorienne originaire de Foumbouni, au Sud de la Grande-Comore. Il avait tué de sang-froid cet être humain et avait fait promener son corps en slip sur le capot d’un véhicule militaire à travers toute la ville de Moroni.
Pourtant, le «concubinocrate» est également l’assassin d’un autre homme, un homme d’État dont l’expertise et la compétence étaient connues et reconnues à travers toutes les Comores: Si Naçr-Ed-Dine Saïd Ibrahim, le grand commis de l’État qu’on ne présente plus. Il avait ajouté la vilénie à la vilénie en tuant un homme de valeur et en disant qu’il était son ami. Cela n’étonnera personne dans la mesure où il est de notoriété publique que les principales victimes du dictateur fou de Mitsoudjé sont notamment dans les rangs de ceux supposés être ses proches.
Pour que la chose soit claire dans les esprits, nous répétons: c’est le «ventriote» Assoumani Azali Boinaheri qui a tué Si Naçr-Ed-Dine Saïd Ibrahim. Une chape de plomb est jetée sur cet assassinat abominable de trop. Il est temps d’en parler…
Par ARM
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© www.lemohelien.com – Vendredi 18 janvier 2019.
