Assoumani Azali a peur d’avoir sommeil aux Comores
Il se rend à l’étranger pour bien dormir et ronfler en paix
Par ARM
Les initiés ont finalement l’explication sur les sommeils du dictateur fou de Mitsoudjé en public: quand il est aux Comores, le satrape de Mitsoudjé a peur de dormir au même endroit une nuit entière. Il organise alors, en pleine nuit, le tour de la Grande-Comore, en utilisant trois voitures Clio, et en se rendant en particulier au Sud de l’île. Il est absolument convaincu que s’il passe toute la nuit au même endroit, et s’il dort, «ses» propres soldats vont le fusiller ou l’égorger pendant son sommeil. De fait, malgré les fausses assurances qu’il affiche, il sait qu’il est condamné à mort, qu’il ne va pas y échapper, et qu’il ne peut pas compter sur un soutien indéfectible de tous «ses» soldats. Les militaires, gendarmes et policiers des Comores sont des criminels, mais certains ont commencé à réfléchir sérieusement sur la dérive qui les conduit à opprimer et à réprimer leur propre peuple, qui comprend des membres de leurs propres familles. On décèle donc de la peur chez le mort-vivant et «pouvoiriste» polygame fou Assoumani Azali Boinaheri dit Bakapihi, «Le Père qui ne prépare jamais à manger».
Mais, tout problème a ses solutions. Et c’est ainsi que le «concubinocrate» Assoumani Azali Boinaheri, pour ne pas mourir de sommeil, voyage le plus souvent possible à l’étranger, à la fois pour percevoir des indemnités de déplacement, soit 1,5 million de francs comoriens (3.000 euros) par jour passé à l’étranger, mais aussi pour dormir. La semaine passée, il devait partir en Inde pour se faire soigner et faire la bise à son neveu, l’assassin Idaroussi Hamadi dit «Tonton-m’a-dit», dit «Le Régent des Comores», dit «Monsieur Moitié», dit «Pièces détachées», victime d’un cancer, soigné en Inde. Mais, quand votre site préféré a dévoilé le secret de ce voyage «clandestin», il est parti dormir et ronfler en Égypte. Lui qui était à Paris début décembre 2019 pour sa conférence des «broyeurs des fonds», voulait y retourner pour aller y faire dodo, ronfler et baver. Mais, on lui expliqua que sa nouvelle présence dans la capitale française allait déclencher de nouvelles émeutes populaires et que, comme il ne pourrait s’agir que de visite privée, sa sécurité n’allait être assurée que par deux policiers face à une communauté comorienne installée en France très remontée contre lui. Danger… Il renonça à son tourisme à Paris.
Ce qui fait rire dans l’affaire, c’est que le chien errant de Mitsoudjé veut rester au pouvoir pour son «émergence à l’horizon 2030» au moins jusqu’en 2029-2030. Mais, comment va-t-il faire s’il ne dort que les jours où il est à l’étranger?
Par ARM
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© www.lemohelien.com – Mardi 17 décembre 2019.
