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Sacrée, Anjouan-2021 n’est ni cessible, ni négociable

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Sacrée, Anjouan-2021 n’est ni cessible, ni négociable

Nous luttons pour instaurer l’État de Droit aux Comores

Par Maître Mchindra Abdallah

Candidat à l’élection présidentielle de 2021

       Maître Mchindra Abdallah, candidat aux élections présidentielles de 2021, pour le tour d’Anjouan, tire la sonnette d’alarme et explique au monde les enjeux socio-politiques liés à cette élection. Le tour d’Anjouan en 2021 n’est ni cessible, ni négociable. Il y va de la stabilité et de la paix aux Comores. Le 26 mai 2021, un Comorien originaire d’Anjouan doit être investi Président de l’Union des Comores. Cette date n’est ni cessible, ni négociable. Le respect de cette date – et donc du calendrier électoral initial – permettra aux Comores de renouer avec la paix et la stabilité d’avant le 26 mai 2016.

En effet, depuis 20 ans, les Comores ont connu un système de présidence tournante qui a eu le mérite de renouer avec la stabilité, la paix et bien sûr avec le développement économique. Cependant, depuis l’élection fraudée et contestée de 2016, le pays vit sous un régime dictatorial digne de l’époque de Joseph Staline, Benito Mussolini et les autres dictateurs.

À la tête de cette dictature, se trouve un Colonel de l’Armée comorienne au nom d’Azali Assoumani. Ce dernier incarne à lui seul La Justice, l’Administration, le système bancaire du pays, la Douane et toutes les institutions financières et régaliennes des Comores, bref, tout est sous son contrôle. Pour preuve, son cousin Mohamed Elamine Souef est le ministre des Affaires étrangères. Son fils Loukmane est le Commandant de fait de l’Armée, son épouse Ambari Darouèche, gestionnaire des fonds publics qui servent à corrompre le plus grand nombre de corruptibles et d’affamer le peuple comorien. Ses amis d’enfance, originaires du même village, sont Directeurs à la Douane, au Trésor public, à la Banque centrale des Comores, aux sociétés d’État, etc.

La dictature d’Azali Assoumani est soutenue par une politique clientéliste qui a fait de la corruption son fonds de commerce.

Voilà, en résumé, la politique que mène le Colonel Azali Assoumani en Union des Comores depuis le 26 mai 2016 et que nous combattons afin d’instaurer l’État de Droit auquel le peuple comorien aspire depuis toujours.

Vive l’Union des Comores sans Azali Assoumani

Par Maître Mchindra Abdallah

Président du Mouvement des Démocrates comoriens (MDC)

Candidat à l’élection présidentielle Anjouan-2021

© www.lemohelien.com – Dimanche 31 mai 2020.


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