• Home
  • /
  • actualite
  • /
  • Assoumani Azali et le mauvais goût: une vieille histoire

Assoumani Azali et le mauvais goût: une vieille histoire

Partagez sur

Assoumani Azali et le mauvais goût: une vieille histoire

Son mauvais goût vestimentaire constitue un vieux scandale

Par ARM

       Lors du règne maudit des Mohéliens de Bête-Salam, plus précisément le mardi 19 mars 2013, au cours d’une mémorable déclaration à la presse, le Vice-président Fouad Mohadji, connu pour ses formules volcaniques et explosives, réglait quelques comptes avec Ikililou Dhoinine, le Gouverneur Mohamed Ali Saïd de Mohéli et le très influent grand notable Soilihi Mohamed Soilihi de Djoiezi. Il avait été l’auteur d’une phrase qui génocide encore de rire le Tout-Mohéli: «Mohamed Ali Saïd n’a jamais pu être le compagnon de route de qui que ce soit, et même les vêtements qu’il porte sont en désaccord avec son propre corps». C’est curieux. Oui, curieusement, on se rend compte que cette déclaration incendiaire aurait pu être faite pour le mort-vivant maudit et «pouvoiriste» polygame fou Assoumani Azali Boinaheri dit Bakapihi, «Le Père qui ne prépare jamais à manger». Ceci est d’autant plus vrai que le dictateur fou de Mitsoudjé «n’a jamais pu être le compagnon de route de qui que ce soit» et «même les vêtements qu’il porte sont en désaccord avec son propre corps».

Nous avons ici une photo de sa première kleptocratie (1999-2006). On y retrouve tous les ingrédients du mauvais goût vestimentaire. On n’y voit aucune harmonie entre sa veste de déterreur des hérissons, sa cravate de maraudeur de mangues, sa chemise de bandit des plantations de vanille, son pantalon de braconnier de tortues et ses chaussures de pompier. Comment peut-on être nul à ce point? N’importe quelle personne civilisée vous dira que les bonnes manières et le bon goût exigent de ne pas dépasser trois couleurs dans les habits qu’on porte au même moment. Or, sur cette photo, le dictateur fou de Mitsoudjé arbore avec fierté 5 couleurs différentes. Pendant ce temps, au lieu de s’occuper de son moujik de mari, la dictatrice Ambari Darouèche dite Makapihi, «La Mère qui ne prépare jamais à manger», est en train de voler l’argent des entreprises publiques et d’incendier la Direction générale des Impôts, où elle avait soigneusement placé son jeune protégé Mohamed Djounaïd Soilihi et où il fallait supprimer certaines preuves compromettantes. Déjà «l’émergence à l’horizon 2030»! Donc, le mauvais goût vestimentaire du couple de serpents venimeux de Mitsoudjé est ce qu’on appelle une vieille histoire. Ce sont des pauvres types…

Par ARM

Le copier-coller tue la blogosphère comorienne. Cela étant, il est demandé amicalement aux administrateurs des sites Internet et blogs de ne pas reproduire sur leurs médias l’intégralité des articles du site www.lemohelien.com – Il s’agit d’une propriété intellectuelle.

© www.lemohelien.com – Lundi 4 novembre 2019.


Partagez sur

Laisser un commentaire

Time limit is exhausted. Please reload CAPTCHA.