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Maoulana Charif trahit Assoumani Azali à l’Assemblée

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Maoulana Charif trahit Assoumani Azali à l’Assemblée

Le voyou a agi contre son chef dans l’affaire des ordonnances

Par ARM

     «Tu quoque mi fili!» («Toi aussi, mon fils!»), avait lancé Jules César à Brutus, qu’il traitait en fils, quand il remarqua que ce dernier faisait partie du groupe qui allait l’assassiner à coups de 23 poignards.

     Aujourd’hui, il est un individu qui peut s’exclamer: «Tu quoque mi fili!». Il s’agit du mort-vivant et «pouvoiriste» polygame fou Assoumani Azali Boinaheri dit Bakapihi, «Le Père qui ne prépare jamais à manger». Il doit convoquer la célèbre parole chaque fois qu’il a devant lui son propre Brutus, qui n’est autre que son «fils» Maoulana Charif, actuel Député et Vice-président de l’Assemblée de l’Union des Comores, son ministre de l’Économie et des Finances lors de sa première kleptocratie (1999-2006), et son complice l’ayant aidé à voler aux Comoriens 40 millions d’euros (20 milliards de francs comoriens).

En effet, quand le «concubinocrate» Assoumani Azali Boinaheri avait concocté le projet fou de devenir le dictateur-Assemblée par voie de lois d’habilitation et d’ordonnances, il avait remis 600 millions de francs comoriens (1,2 million d’euros) à Moualana Charif pour corrompre les autres Députés. Or, ce dernier a trahi son «Père qui ne prépare jamais à manger» en volant une bonne partie de cet argent sale et en demandant aux Députés de ne pas accorder au dictateur fou de Mitsoudjé ce qu’il réclamait: «Que ça reste entre nous. Il ne faut pas lui accorder le pouvoir de nous mettre au chômage. Il est capable du pire pour le pouvoir, et nous le constatons aujourd’hui, même si nous nous taisons. Défendons notre mandat. Ne votons pas ses lois d’habilitation. J’insiste sur la confidentialité de notre entretien, hein?».

Certains initiés prétendent que cette trahison se sait au sein de la «Ripoux-blique» de Mitsoudjé, mais que celle-ci se tait pour que les Comoriens ne disent pas que même les plus fidèles de ses affidés savent que le satrape de la satrapie de Mitsoudjé désapprouvent leur chef. Ce qui fait rire, c’est que depuis longtemps, Ambari Darouèche dite Makapihi, «La Mère qui ne prépare jamais à manger», traite Maoulana Charif de «mauvais fils». Or, telle mère, tel fils. Comme les vaches ne donnent pas naissance à des agneaux, voilà les résultats.

Par ARM

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© www.lemohelien.com – Lundi 7 janvier 2019.


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