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Ahamada Ahamadi injurie Saïd Hassane Saïd Hachim

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Ahamada Ahamadi injurie Saïd Hassane Saïd Hachim

Il insulte aussi les Comoriens approuvant notre Patriarche

Par ARM

       Ahamada Ahamadi, le petit épicier aigri de Mohoro. À lui seule, tout un monument à la gloire de la bêtise. L’humanité fait tout pour oublier jusqu’à son existence, et il fait tout pour que l’humanité sache qu’il est encore de ce monde. Voilà un gus qui n’a pas compris les vertus de la modestie, de la simplicité et de l’humilité. Voilà un gus qui gagnerait à méditer ce mot tiré de la Bible: «L’humilité précède la gloire, et l’orgueil la chute». Voilà un gus qui n’a pas compris qu’après avoir rampé comme un serpent devant le pouvoir pendant plus de 50 ans, il est temps pour lui de se redresser et de marcher comme un humain. On connaît l’origine de son égocentrisme monomaniaque, de sa fatuité inégalée, de son orgueil maladif, de sa mégalomanie hystérique, de son m’as-tu-vu pathologique et de sa misanthropie à fleur de peau: son fameux séjour de quelques jours en URSS qui l’a fait passer de simple infirmier à «Docteur en Médecine», par pure magie.

Retraité de force de l’appareil diplomatique de Mohamed Elamine Souef, il a été transformé en «expert en administration douanière» par le sinistre frère Kamaldine Souef, Directeur général de sa propriété personnelle qu’est la Douane des Comores. Il croit légitimer cet emploi fictif par l’injure et l’insulte envers Saïd Hassane Saïd Hachim, dont «le crime» est son désaveu public de la politique criminelle du mort-vivant et «pouvoiriste» polygame fou Assoumani Azali Boinaheri dit Bakapihi, «Le Père qui ne prépare jamais à manger».

Ahamada Ahamadi, petit épicier aigri de Mohoro, parle de Saïd Hassane Saïd Hachim pour qu’on parle de lui. Il fait penser au discours flamboyant prononcé le 12 octobre 1985, lors de la clôture du 8ème congrès du Parti démocratique de Côte-d’Ivoire (PDCI), par le magicien Laurent Dona-Fologo: «Pourtant, et c’est ma conviction profonde, les hagiographes les plus talentueux ont beau se bousculer au portillon de la gloire immortalisant Félix Houphouët-Boigny en s’immortalisant eux-mêmes; les historiens les plus savants ont beau prétendre à la part la plus belle dans la connaissance de la vie d’un homme dont l’aura et le charisme en font une des figures de proue de notre temps: pourtant, dis-je, il reste et restera toujours une forme d’hommage à Félix Houphouët-Boigny qui échappe et échappera toujours à toute exclusivité, parce que se situant au-delà de toute expression simple».

Oui, Ahamada Ahamadi, le petit épicier aigri de Mohoro, parle de Saïd Hassane Saïd Hachim pour qu’on parle de lui, surtout à Mitsoudjé, siège de la dictature. Se prenant pour le roi de la rhétorique, il commence son exercice de bassesse par la bassesse et dans la bassesse, sans rien apporter au débat démocratique et républicain: «Le geste était misérable. Peut-être pitoyable. On aurait dû ne pas en parler, tellement il est puérile [Sic: «Puéril»], semblable à cette crispation possessive d’enfants, dans une cour de récréation». De quel droit Ahamada Ahamadi décide de ce dont on doit parler et de ce dont on ne doit pas parler? Et comment ça se fait qu’il parle de ce dont il dit qu’on ne devait pas parler? C’est un misérable mendiant.

Le petit épicier aigri de Mohoro est qui pour croire qu’il est plus intelligent que les milliers et milliers de Comoriens qui soutiennent Saïd Hassane Saïd Hachim refusant le micro à un dictateur qui quémande – au lieu d’attendre qu’on sollicite sa parole – un micro pour la clôture d’une cérémonie de mariage? Après avoir insulté Saïd Hassane Saïd Hachim, il injurie tous ceux qui l’approuvent: «Ceux qui ont trouvé en ce geste un acte révolutionnaire, audacieux, osé, qui dilate l’opposition politique, manquent d’imagination. Les hommages appuyés et les félicitations ampoulées sont hypocrites et insultants. Ce n’est que de la manipulation et de la récupération. On n’applaudit pas la défaillance d’un homme à la carrière si fulgurante». Et il s’agit de quelle «défaillance»? Où a-t-il vu de la «défaillance» dans le geste épique, historique, courageux et honorable de Saïd Hassane Saïd Hachim.

Ce que le petit épicier aigri de Mohoro n’a pas compris, c’est que des milliers de Comoriens sont prêts à mourir dans la gloire et l’honneur avec Saïd Hassane Saïd Hachim plutôt que de se vautrer dans l’opprobre et le déshonneur avec lui et son dictateur.

Il est deux choses que n’a pas comprises «L’Ambassadeur Ahamada Ahamadi».

1.- Les Comoriens sont plus respectueux et plus craintifs des règles de la tradition sociale que des normes étatiques. Ce qu’on ne peut pas régler sur la scène politique a sa solution sur la scène sociale. Certains Comoriens pourraient provoquer un génocide devant un Commissariat de Police, mais sont incapables de violer une seule norme du grand mariage. Ce que disent les Comoriens sur la scène politique n’est pas arrivé aux oreilles du tyran, mais le geste social de Saïd Hassane Saïd Hachim est marqué au fer rouge dans son cerveau détruit.

2.- Si «L’Ambassadeur Ahamada Ahamadi» était un homme et s’il avait ne serait-ce qu’une once de valeur au sein de la société de la Grande-Comore, une délégation de notables de Foumbouni, terre de Saïd Hassane Saïd Hachim, serait déjà partie à Mohoro demander des comptes, des explications et même son bannissement. Mais, comment bannir un banni, et «tuer un cadavre qui est déjà mort»? Quel pauvre type!

Par ARM

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© www.lemohelien.com – Lundi 16 septembre 2019.


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