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Comme Halima, le tyran a retrouvé ses vieilles habitudes

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Comme Halima, le tyran a retrouvé ses vieilles habitudes

Assoumani Azali: «Communication» onéreuse pour futilités

Par ARM

     On ne peut pas s’empêcher de ricaner. Le «pouvoiriste» polygame fou Assoumani Azali Boinaheri dit Bakapihi, «Le Père qui ne prépare jamais à manger», a fait comme Halima: il a retrouvé ses vieilles habitudes. À en croire le journal satirique panafricain Le Gri-gri International, lors de sa première kleptocratie entièrement dégueulasse et criminelle (1999-2006), le «concubinocrate» Assoumani Azali Boinaheri donnait 200.000 euros (100 millions de francs comoriens) par an à Jeune Afrique pour se faire de la publicité bidon à laquelle personne ne croyait. En bien, le «ventriote» Assoumani Azali Boinaheri a repris ses vilaines habitudes de gaspillage et de mégalomanie. On ne sait pas combien il a payé cette fois-ci, mais les pages publicitaires qu’il vient d’acheter toujours chez Jeune Afrique ne lui sont pas offertes gratuitement. Qu’on se le dise!

Pouah! Quand on parcourt le contenu de cette publicité stupide, on est dégoûté par l’étalage des mensonges qui s’y trouvent. Toute cette publicité est mensongère et tendancieuse. Contentons-nous de citer certains de ces titres mensongers: «Référendum du 30 juillet. Des institutions pour faire face aux défis du XXIème siècle», «Développement et émergence: le défi comorien», «Une administration en voie d’assainissement», «Amélioration des conditions de vie: baisse du coût de la vie et emploi des jeunes», «Pérennisation de la fourniture d’énergie, premier levier de la reprise de l’activité économique», «Grands travaux: des infrastructures pour soutenir l’activité économique», «Les Comores sur les rails du développement», blablas, de nouveau blablas, encore blablas! C’est honteux! C’est indigne! C’est scandaleux! C’est un scandale!

Dans notre adolescence, le magazine Jeune Afrique était une référence, LA référence. Il est très triste de constater qu’aujourd’hui, il se rabaisse à faire de la publicité pour une dictature débile de village.

Parlons vrai. J’ai déjà travaillé dans un magazine panafricain. J’affirme que de telles pages publicitaires coûtent une fortune. Le journaliste qui s’occupe de cette soupe reçoit pour lui seul 15.000 euros (7,5 millions de francs comoriens), en dehors de la fortune que reçoit son employeur. Que vaut un tel gaspillage, surtout à un moment où tout le monde sait qu’il s’agit de publicité mensongère, dans des Comores qui sont tombées du tomatier? Le bambochard Assoumani Azali Boinaheri croit-il vraiment que sa folie dépensière le sauvera de la honte, de l’accusation justifiée de dictature de village, et de sa mort violente à Bête-Salam? Il se trompe lourdement. Il est vraiment coupé des réalités du monde des vivants.

Ce qui fait rire dans la petite sauterie publicitaire parisienne de la «Ripoux-blique» de Mitsoudjé, c’est que dans le même numéro de Jeune Afrique, ses manies sont dépeintes sous le jour d’une sombre dictature tropicale: «Comores. Attoumani écarté. Il incombait à Cheikh Salim Saïd Attoumani, en sa qualité de président de la Cour suprême, de proclamer les résultats officiels du référendum constitutionnel du 30 juillet. Son adjointe, Harmia Ahmed Ali, l’a remplacé au pied levé. Opposé à l’organisation de ce scrutin, Attoumani a été écarté à la dernière minute par la présidence».

La question que les Comoriens se posent est celle de savoir comment peut-on parler de «Référendum du 30 juillet. Des institutions pour faire face aux défis du XXIème siècle» dans un pays où on sanctionne les magistrats qui contestent les pires infamies? Cheikh Salim Saïd Attoumani est une pourriture abjecte, l’un des moutons du «saigneur saignant» Assoumani Azali Boinaheri. Il est un homme sans scrupules, ni dignité, ni conscience civique. Son refus de signer un papier avalisant des «résultats» qui lui sont dictés par son maître de Mitsoudjé ne signifie rien. Ce qui fait rire, c’est que c’est la dégueulasse Harmia Ahmed Ali, son amant de 30 ans et son épouse de 4 mois, qui a pris la relève. La copine Harmia Ahmed Ali vient d’«entrer dans l’Histoire». Quel couple de serpents!

Par ARM

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© www.lemohelien.com – Mardi 28 août 2018.


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