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La triste «Ripoux-blique» contre Fahmi Saïd Ibrahim

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La triste «Ripoux-blique» contre Fahmi Saïd Ibrahim

Le Sultan du Hambou monte un dossier contre l’adversaire

Par ARM

     Le 10 juillet 2017, une loi de l’Assemblée de l’Union des Comores a institué une Commission d’enquête sur «la citoyenneté économique». L’initiative de cette loi a, en réalité, été prise par le «pouvoiriste» polygame fou Assoumani Azali Boinaheri dit Bakapihi, «Le Père qui ne prépare jamais à manger». À ses côtés, il avait une enflure: le dégueulasse, vil et abject mercenaire Nourdine Abodo, surnommé Satan par les magistrats, l’Intrigant par les avocats, l’Infâme par le peuple, le Serpent à lunettes à Bête-Salam et le Vénérable Aîné par le vil et ignoble brigand Saïd Ahmed Saïd Ali, descendant direct de l’écrivain anglais William Shakespeare, qui a rédigé Othello et Roméo et Juliette sous l’arbre à pain et le cocotier jouxtant la case de ses ancêtres à Ntsoudjini, ville dont il est l’éternel beau gosse.

Le but de la magouille étant connu, il suffirait à peine de rappeler qu’il vise à instrumentaliser l’État pour tenter de salir gravement l’ancien et inévitable prochain Président Ahmed Sambi. Quelques jours après l’adoption de cette loi, Maître Fahmi Saïd Ibrahim a fait sa sortie médiatique fracassante sur la chaîne de télévision Al Jazeera, au Qatar, et le «concubinocrate» Assoumani Azali Boinaheri était dans tous ses états, fou de rage. Pour une interview sur une chaîne de télévision étrangère, plusieurs réunions de crise ont eu lieu à Bête-Salam. C’est à cette occasion que le «ventriote» Assoumani Azali Boinaheri et Mohamed Elamine Souef ont demandé s’il n’y avait rien qu’on pouvait reprocher à Fahmi Saïd Ibrahim et le salir. Ils ont fouillé au ministère de la Justice, et n’ont rien trouvé.

     Contrairement aux accusations haineuses et aux affirmations gratuites d’un Ibrahim Ali Mzimba, au ministère de la Justice, il y a eu deux fonctionnaires qui, tout en connaissant la haine des autorités envers leur cible, ont dit: «Nous n’avons jamais eu un ministre aussi droit. Fahmi Saïd Ibrahim est le seul ministre à avoir restitué plusieurs millions de francs comoriens, après avoir renoncé à des voyages. C’est du jamais vu». Déçus, les comploteurs de la «Ripoux-blique» de Mitsoudjé sont allés au ministère des Affaires étrangères. Lors des investigations, on leur a dit: «Fahmi Saïd Ibrahim est le ministre qui a créé la Régie, dès sa nomination en 2010. Il est parti en juin 2011 sans jamais s’immiscer dans les affaires financières du ministère».

Meurtri, le cou de Bouddha prenant encore du volume, Mohamed Elamine Souef a ordonné de fouiller toutes autorisations d’émission de passeports diplomatiques. Un diplomate lança aux remplisseurs des poubelles: «Fahmi Saïd Ibrahim est le ministre qui a émis le moins de passeports diplomatiques. Toutes les personnes qui en ont obtenu étaient en droit d’en bénéficier». Les remplisseurs de poubelles de la «Ripoux-blique» de Mitsoudjé ont découvert qu’une seule personne, je précise bien une seule personne, a bénéficié d’un passeport émis le 30 mai 2011. Mais, en réalité, bien qu’émis à cette date, les chaouchs de la «Ripoux-blique» de Mitsoudjé savent très bien que l’autorisation d’émission avait été donnée 3 semaines avant.

Or, c’est à partir de là que Mohamed Elamine Souef suggéra à son cousin, le bambochard Assoumani Azali Boinaheri, d’exiger de Toiliha Dhoulkamal, le faux Dhoihir Dhoulkamal, de salir Maître Fahmi Saïd Ibrahim. Il ne s’agit que de ça en réalité: faire illégalement une extension de l’enquête parlementaire sur les passeports diplomatiques, alors que la résolution de l’Assemblée de l’Union des Comores n’avait pas ordonné une telle enquête.

Un vent de folie souffle sur les voleurs de la «Ripoux-blique» de Mitsoudjé, dont les deux mamelles sont le vol d’argent public et le lancement des cris de haine. En pensant au voleur notoire qu’est son maudit neveu Idaroussi Hamadi dit «Tonton-m’a-dit», voleur d’argent et de matériel au ministère de la Production et libéré «provisoirement» suite au faux témoignage de Bellou Magochi, le «Saigneur saignant» Assoumani Azali Boinaheri a dit que des membres de sa famille étaient salis par le régime politique d’Ahmed Sambi, en étant poursuivis par la Justice. Des voleurs! Or, ici, il n’est pas question de Justice, mais de vengeance: salir Maître Fahmi Saïd Ibrahim après sa sortie médiatique au Qatar.

Toiliha Dhoulkamal, le faux Dhoihir Dhoulkamal, a été convoqué par ses maîtres, et ordre lui avait été donné de mêler frauduleusement les passeports diplomatiques à «la citoyenneté économique», alors que tel ne devait pas être le cas, surtout, suite au mensonge éhonté et aux trucages. Le putschiste Assoumani Azali Boinaheri et son cousin Mohamed Elamine veulent salir Maître Fahmi Saïd Ibrahim. L’ignominieux et ignoble mercenaire Nourdine Abodo s’est occupé de la rédaction de la saleté. C’est vraiment abject.

La loi de l’Assemblée de l’Union des Comores est claire. Elle parle de «citoyenneté économique» et jamais de passeports diplomatiques, mais peu importe pour la «Ripoux-blique» de Mitsoudjé, même si Ibrahim Ali Mzimba raconte n’importe quoi sur le sujet, sans le moindre respect pour le Droit qu’il est censé avoir étudié et qu’il est censé pratiquer et faire respecter. Maintenant, Toiliha Dhoulkamal dit regretter amèrement sa conduite dans l’affaire, et a versé des larmes de crocodile sur l’épaule de Bellou Magochi et d’un Conseiller à Bête-Salam. Alors qu’il savait tout dès le début de la cabale, aujourd’hui, toute honte bue, il se dit manipulé, et dit regretter d’avoir cédé aux demandes illégales des cousins de Mitsoudjé.

Pourquoi Toiliha Dhoulkamal n’a pas fait une enquête sérieuse sur des milliers de passeports, mais s’acharne sur 1 passeport diplomatique? Ibrahim Ali Mzimba doit le dire aux Comoriens. C’est très facile de saisir la réalité. Le Député véreux aurait pu constater que Maître Fahmi Saïd Ibrahim a autorisé très peu de personnes à bénéficier d’un passeport diplomatique, dont Mohamed Elamine Soeuf, et que toutes ces personnes en étaient des bénéficiaires légaux. Un passeport diplomatique est un privilège que le chef de l’État et le ministre des Affaires étrangères peuvent accorder selon les critères définis par la Loi.

Mais, pourquoi Toiliha Dhoulkamal n’a pas cité les passeports vendus et offerts par d’autres ministres, dont Mohamed Elamine Soeuf, qui les trafiquait avec son cousin fou? Même à Bête-Salam on s’interroge et s’indigne. En 2017, la «Ripoux-blique» a vendu des passeports diplomatiques à 8 Chinois, et le trabendo continue en 2018. Les chaouchs suivistes et hurleurs du RIDJA de Madame Saïd Larifou ne cessent, à chaque écrit, d’insulter Fahmi Saïd Ibrahim, l’accusant d’avoir vendu des passeports diplomatiques. Or, très en colère, ce Conseiller à Bête-Salam affirme au téléphone: «Fahmi Saïd Ibrahim n’est pas vénal. Dans les deux ministères qu’il a eu à gérer, un an chacun, tous les fonctionnaires affirment qu’il a toujours été propre et très digne, et y a toujours laissé des bons souvenirs».

C’est Toiliha Dhoulkamal qui est très mal dans sa peau. Il dit avoir été manipulé par le dictateur à mort Assoumani Azali Boinaheri, Mohamed Elamine Souef et le voyou abject Nourdine Abodo. La roue de l’Histoire n’a jamais cessé de tourner.

Par ARM

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© www.lemohelien.com – Jeudi 14 juin 2018.


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