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Toiliha Dhoulkamal a volé l’argent de la citoyenneté

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Toiliha Dhoulkamal a volé l’argent de la citoyenneté

Assoumani Azali le sait bien et exerce un chantage sur lui

Par ARM

      Ce dimanche 18 mars 2018, nous vous annoncions deux nouvelles: d’une part, l’abject et répugnant Dhoihir Dhoulkamal ne se prénomme pas Dhoihir, mais Toiliha. Il s’appelle donc Toiliha Dhoulkamal, le voleur et brigand Toiliha Dhoulkamal, l’usurpateur de diplômes et escroc qui compte des dizaines de créanciers à Mayotte, à qui il doit rembourser des centaines de milliers d’euros. D’autre part, nous vous avons fait la promesse de vous révéler certains de ses vols. Il s’agit d’argent public, de l’argent public lié à… la «citoyenneté économique», sur laquelle, lui et ses collègues parlementaires étaient censés enquêter, avant qu’il ne fasse de cette enquête un bien personnel hérité de son oncle maternel.

Voici l’une de ses histoires de bandit sans vergogne. Il a été créé en 2009 une société de Droit comorien appelée Combined Group. CGH était détentrice de 70% du capital et les 30% restants étaient la propriété de l’État comorien. Or, l’apport de l’État comorien était tiré des fonds de la «citoyenneté économique». Cette société avait pour objet le concassage, la construction de routes et des grosses infrastructures. Cette nouvelle société a acquis à coup de milliards de francs comoriens les engins de concassage et autres. Ces biens de l’État ont été installés à Anjouan, où des projets de construction de routes avaient été envisagés, et cette société s’était positionnée.

En 2011, Ikililou Dhoinine a préféré, sans appel d’offres, confier le marché à Colas. Dès lors, ces engins de l’État comorien sont restés à Anjouan jusqu’en 2015. Cette année-là, le Gouverneur Anissi Chamsidine et son bras droit, le dégoûtant et abject Toiliha Dhoulkamal, ont décidé, personne ne sait par quel procédé, de s’approprier ces matériels de l’État, qui coûtent une fortune. Oui, le Gouverneur Anissi Chamsidine et le Député mal élu et dégoûtant Toiliha Dhoulkamal ont détourné ces engins qui coûtent des milliards de francs comoriens, des milliards de francs comoriens provenant de la «citoyenneté économique». Aujourd’hui, ces engins sont encore visibles dans sa ville natale.

Personne ne sait par quel biais, le Tribunal de Moroni est saisi de cette affaire. Ce qui est sûr et certain, c’est que l’affaire est en instruction. C’est une très grosse magouille. Pour que la chose soit claire dans les esprits, il faudra insister sur le fait que les 30% des parts sociales de Combined Group détenues par l’État proviennent des fonds de la «citoyenneté économique». Ironie du sort. Triste ironie du sort. Très triste ironie du sort

L’immonde et ignominieux Toiliha Dhoulkamal est cité chez le juge d’instruction comme un des responsables de ce détournement. Or, aujourd’hui que voit-on? Anissi Chamsidine aide Ambari Darouèche à préparer le repas, à faire le linge et la vaisselle, à cirer les chaussures, à poser les nappes et les bâches, à recevoir les invités du soir, à faire passer la serpillière, et à soutenir toutes les lubies mégalomaniaques et liberticides du «pouvoiriste» polygame Assoumani Azali Boinaheri dit Bakapihi, «Le Père qui ne prépare jamais à manger».

Pendant ce temps, le vil et méprisable Toiliha Dhoulkamal est à la solde de la «Ripoux-blique» de Mitsoudjé, qui le menace de le faire convoquer chez le juge d’instruction s’il n’obéit pas au doigt et l’œil, en enfonçant les chefs de l’opposition dans la gadoue au sujet de la «citoyenneté économique», dans un rapport bidon, à la rédaction duquel n’ont pas participé les autres Députés membres de la Commission parlementaire. Ce chiffon a été commandité par la «Ripoux-blique» de Mitsoudjé, et le voyou Toiliha Dhoulkamal y avait inséré en décembre 2017 des passages de ses «investigations» au Moyen-Orient avant de s’y rendre.

Toiliha Dhoulkamal et Anissi Chamsidine, qui sont comme cul et chemise avec Bête-Salam, sont tous les deux coupables de détournement d’engins de travaux publics appartenant à une société d’économie mixte, donc à une entreprise fonctionnant en partie avec des capitaux publics, l’argent du peuple comorien. Dans cette affaire, d’autres personnes sont impliquées. On comprend maintenant pourquoi le gougnafier Toiliha Dhoulkamal a écrit ce papier-cul à charge sous la contrainte et la dictée, même s’il déteste l’ancien Président Ahmed Sambi.

Par ARM

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© www.lemohelien.com – Lundi 19 mars 2018.


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