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Hamada Madi Boléro détesté et méprisé à l’île Maurice

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Hamada Madi Boléro détesté et méprisé à l’île Maurice

Lui et son Azali Assoumani souhaitent être reçus à l’Élysée

Par ARM

      Un jour, il faudra dépêcher un psychanalyste, un psychiatre, un psychologue et sociologue à Mohéli pour essayer de comprendre pourquoi des Mohéliens sains d’esprit et de corps ont une peur bleue de l’individu devenu le fugitif international polygame Hamada Madi Boléro. Oui, il se trouve des gens à Mohéli qui savent tout de la malfaisance de cet individu et qui, au lieu de le combattre, se réfugient dans la peur. Oui, il est malfaisant et répand le mal autour de lui, mais n’est-il pas venu le temps de lui dire qu’il n’est pas Dieu et de procéder à un solde de tout compte avec lui? Les seuls à lui avoir exprimé publiquement leur mépris ont été les jeunes de Djoiezi, pour la plupart des cousins et neveux d’Ikililou Dhoinine qui, dans le tract historique «Kala Wa Dala» de mai 2014, ont écrit la petite merveille suivante: «Boléro, Directeur de Cabinet à la Défense, surnommé Dracula. C’est un fantôme, un caméléon, un escroc, un menteur. Il n’a pas d’identité fixe, il change en fonction du pouvoir. Ses alliés (Moishikundi wayi conteneri ya banatacha) Le petit groupuscule qui se réunit devant le conteneur du père de Natacha» (Youssoufa Madi, de Djoiezi)] ne le soutiennent plus, ils le haïssent. Ce Monsieur n’est ni un Mohélien, ni un Grand-Comorien vu ses mentalités (moyenne: 0,5/20. Mention: Traître».

Tout ce qui est écrit sur ce tract qui constitue l’un des documents les plus éclairants et les plus explosifs de la littérature subversive des Comores est vrai. Imaginez un homme qui avait été Directeur du Cabinet de deux Présidents en charge de la Défense, ministre de la Défense, Premier ministre et Président de la République par intérim et qui écrit un livre électronique pour dire qu’il couchait avec ses élèves mineures, s’accusant donc lui-même de pédophilie. Imaginez le même sinistre individu qui se rend au Nord de la région parisienne chez des parents de l’une de ses victimes en pédophilie et qui étale les photos montrant nue son ancienne élève encore mineure. Il faudra beaucoup de pudeur et de lâcheté pour reconnaître de l’humanité à une créature aussi méprisable.

Oui, Mesdames et Messieurs, le fugitif international polygame Hamada Madi Boléro n’est pas humain. Il n’est pas humain. Il n’a pas d’humanité. Les Mauriciens viennent de s’en rendre compte et disent ne pas vouloir de ce «microbe» dans leur beau pays. Si les dirigeants mauriciens trouvaient le moyen de renvoyer tout de suite le fugitif international polygame Hamada Madi Boléro du secrétariat général de la Commission de l’océan Indien (COI), ils le feraient sans le moindre regret. Envers lui, ils n’ont que du mépris et de la haine dès qu’ils ont découvert que toute la fumée qui l’entoure n’est que de la fumée. En quelques semaines, tout le monde à l’île Maurice admit la triste réalité: le fugitif international polygame Hamada Madi Boléro n’est pas fait pour diriger une organisation internationale, même à vocation régionale comme la COI.

Tout d’abord, ce n’est pas un travailleur, même s’il reste à son bureau jusqu’à une heure tardive, pour se tailler quelques pipes par des gamines. En plus, ses interminables voyages à l’étranger déplaisent. Il voyage pour aller où? Ensuite, il abandonne son poste pour aller se mêler à des mesquineries politiciennes aux Comores, ce qui lui est interdit. Nous avons été les témoins du désastre à travers lequel il a été incapable de savoir qu’à partir du moment où deux États se regroupent dans une structure commune, il s’agit d’une organisation internationale. Quand cette dernière se limite à un espace donné, il s’agit d’une organisation internationale à vocation régionale, à la différence de l’ONU, qui a une vocation universelle.

Les juristes sont étonnés de constater que cet individu qui prétend avoir un «MBA» en Relations internationales, donc un diplôme anglo-saxon en URSS en pleine guerre froide, est incapable de définir une organisation internationale, au point de vouloir changer l’appellation officielle d’une COI créée alors qu’il dormait encore la tête posée contre les troncs des cocotiers et des manguiers. C’est ce même individu qui faisait signer à Ikililou Dhoinine des décrets débiles que cassait la Cour constitutionnelle alors qu’il prétend avoir fait une formation spécialisée en Droit constitutionnel à Bordeaux. S’il a le temps, je peux lui donner des cours de Droit international public et privé ainsi que d’autres en Droit constitutionnel. Cela lui évitera d’aller se couvrir de ridicule en public et de tenter de rectifier le tir sur la page Facebook de l’un de ses anciens élèves au Lycée de Moroni, là où il se livrait à ses actes de pédophilie. Ses magouilles sur Facebook relèvent de la lâcheté…

Pendant qu’il a entamé sa descente aux enfers, il s’est mis en tête l’idée d’être reçu à l’Élysée afin d’aller parader par la suite sur Facebook et à l’Office de Radiotélévision des Comores (ORTC), dont il avait été le premier Directeur, mais dont il a volé tout l’argent que l’Arabie Saoudite avait mis à la disposition des Comores. Il aurait pu se contenter d’être un misanthrope, mais le voilà également pédophile autoproclamé avec fierté, fraudeur électoral, voleur d’argent public, «apatrîle», ingrat et chantre de la noirceur du cœur. Sa tentative d’être reçu à l’Élysée s’accompagne de celle du danseur de «Bumping» Azali Assoumani. Il est certain que dès que ces deux truands et bandits seront reçus à l’Élysée, les Comores deviendront le lendemain un «pays émergent», et Saïd Larifou pourra s’épargner la honte ignominieuse d’entrer dans les hameaux, villages et villes pour expliquer «l’émergence émergente du pays émergent» ainsi que les «vertus» de l’éclatement de l’État comorien après la suppression de la présidence tournante. Quelle classe politique! Dégoûtant!

Par ARM

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© www.lemohelien.com – Mardi 8 août 2017.


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