Au secours! Au feu! L’Arabie Saoudite lâche enfin Azali
Azali, désespéré, s’est créé une fausse opposition par Kiki
Par ARM
Les dernières rumeurs de bouchère et les derniers bruits de couloirs et de chiottes de Bête-Salam ne sont guère rassurants pour le dictateur Assoumani Azali Boinaheri. Ceci est d’autant plus vrai que le torchon brûlerait entre le fasciste Bellou Magochi, «Délégué à la Défense», et le faussaire Kiki, l’ancien maître-nageur entre Dunkerque et Le Havre, devenu Français en reniant sa propre mère pour se déclarer d’une fausse mère, de nationalité française, le seul homme dans l’univers, toutes galaxies confondues, des origines de l’humanité à ce jour, à avoir «obtenu» le même jour, sans l’intervalle d’au moins 3 ans, son «Master 2» et son «Doctorat», et ce, en «Intelligence économique». Mais, pensent les lucides qui ne trompent jamais, cette fâcherie serait de façade et relèverait d’une stratégie foireuse et trompeuse du dictateur Assoumani Azali Boinaheri pour se créer «une opposition» sur mesure et sous sa botte, à un moment où, tout en jurant avoir quitté «la majorité minoritaire», le faussaire Kiki et son parti vont participer au «monologue des sourds», le faussaire Kiki étant secondé par son frère en faux et usage de faux et en déclarations de fausse opposition: Ibrahim Ali Mzimba, qui vient de se remarier avec un bébé de 19 ans.
Le seul fait pour le dictateur Assoumani Azali Boinaheri de concocter un plan aussi débile pour se créer une fausse opposition par ses larbins et faussaires Kiki et Ibrahim Ali Mzimba en dit long sur les abois et le désarroi dans lesquels il est en ce moment. En tout état de cause, au-delà de ces enfantillages, le dictateur maudit de Mitsoudjé est de plus en plus inquiet parce qu’il est lâché par l’Arabie Saoudite, alors que c’est sur elle qu’il comptait continuer à financer sa mauvaise gouvernance dictatoriale et continuer à écraser les Comoriens dans le sang et dans le deuil. Depuis que le gouvernement du Hedjaz et du Nedjd ne lui donne plus le sein et le biberon, le dictateur fou de Mitsoudjé, sur les traces de ses amis et frères Taliban, a replongé les Comoriens dans les arriérés de salaires. Ces dictateurs incapables des Comores et d’Afghanistan adorent le pouvoir pour voler le peuple, persécuter, torturer, tuer, étrangler par la ceinture et le portemonnaie, exiler, plonger leurs pays dans le noir, semer le deuil et répandre le sang, sans jamais pouvoir travailler pour le bien commun.
«Maman, je veux aller vivre à Bête-Salam»…
Par ARM
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© www.lemohelien.com – Lundi 20 décembre 2021.
