Djaafar Ahmed, la petite bécasse, rentré aux Comores
Son exhibitionnisme devant la tombe de sa mère: indécent!
Par ARM
Au moment où votre site préféré annonçait que Djaafar Ahmed Saïd Hassani, la petite bécasse et poule mouillée, allait rentrer aux Comores pour continuer à se compromettre auprès de son chef, le dictateur Assoumani Azali Boinaheri, qui lui a remis une valise d’argent «à titre d’indemnisation», il était dans l’avion en direction des Comores. Il y est arrivé. On le voit en train de faire du cinéma, de l’exhibitionnisme et du voyeurisme devant la tombe de sa mère. Nous tous qui avons perdu nos parents, allons nous recueillir sur leurs tombes dès notre arrivée sur nos îles et villes respectives, mais sans faire des photos. Ça ne se fait pas. Cela ne se fait pas. Quand on accomplit son devoir de fils, on ne se fait pas photographier. Donc, ce qu’a fait Djaafar Ahmed Saïd Hassani, la petite bécasse et poule mouillée, est malsain. Les Comoriens ne comprennent pas ce qu’a fait Djaafar Ahmed Saïd Hassani, la petite bécasse et poule mouillée. Que Dieu protège les pères et mères de ceux et celles qui les ont encore dans ce monde, et leur accorde longue vie.
Djaafar Ahmed Saïd Hassani, la petite bécasse et poule mouillée, a tué tout le capital de sympathie qu’il avait gagné dans le cœur des Comoriens à la suite de son discours du 18 juin 2018. Depuis, il s’est autodétruit politiquement pour les yeux de fou du dictateur fou Assoumani Azali Boinaheri. Notre informateur à Bête-Salam nous a fait parvenir des preuves accablantes sur l’organisation par le dictateur Assoumani Azali Boinaheri de «la fuite» de Djaafar Ahmed Saïd Hassani, la petite bécasse et poule mouillée, vers la Tanzanie. Oui, cette mascarade avait été organisée entièrement par le dictateur de Mitsoudjé, resté en contact avec son chouchou, notamment par l’intermédiaire de ce notable de Mdé. Dans les heures qui vont suivre, Djaafar Ahmed Saïd Hassani, la petite bécasse et poule mouillée, va s’impliquer dans le «monologue des sourds», dont ne veulent pas les Comoriens. Il s’en moque, lui qui prétend être juriste et magistrat, mais qui s’était salement et gravement compromis par sa participation directe et active de la corruption des membres de la Cour constitutionnelle lors de la mascarade électorale à «104%» de 2016, n’hésitant pas à les ramasser lui-même devant la Cour constitutionnelle et de l’y déposer au vu et au su du Tout-Moroni.
Par ARM
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© www.lemohelien.com – Vendredi 3 décembre 2021.
