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M-17, Dahalani et Mouigni vendent les bijoux de famille

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M-17, Dahalani et Mouigni vendent les bijoux de famille

Ils ont vendu l’opposition et les Comores à Assoumani Azali

Par ARM

     Quelle tristesse!

1.- Mouigni Baraka Saïd Soilihi veut être nommé «chef de l’opposition» par son chef, le dictateur Assoumani Azali Boinaheri, et veut faire disparaître, y compris par mort violente ou par empoisonnement, son pire cauchemar: le Vice-président Mohamed Ali Soilihi. Il le veut mort, tout de suite. C’est son obsession.

2.- Saïd-Abasse Dahalani veut continuer à vivre de ses contrats clandestins avec le dictateur Assoumani Azali Boinaheri.

3.- Le M-17 «mohélien» est dirigé par des chefs tellement aigris et vénaux que tout ce qui les intéresse, c’est avoir des billets d’avion pour Anjouan et la Grande-Comore, alors que le combat de Mohéli est à Mohéli, où il faut défendre l’île, avant tout contre les pillards, les braconniers, les assassins, les bandits de grands chemins, les destructeurs de la nature et les voleurs arrivant chaque jour d’Anjouan pour tout détruire, tuer un être humain pour un régime de banane ou un kg de vanille, après avoir détruit leur propre île.

Ces triumvirs de l’aigreur, de l’irresponsabilité et de la haine balisent le terrain pour leur chef commun: le dictateur Assoumani Azali Boinaheri. Leur «séminaire» de Mohéli a pour but de «légitimer» le dictateur de Mitsoudjé, et accepter sans conditions préalables son «monologue des sourds». C’est la vente de l’opposition et des Comores par le M17 «mohélien», Saïd-Abasse Dahalani et Mouigni Baraka Saïd Soilihi pour de l’argent volé par la dictature, et dont l’intermédiaire à Mohéli est Saïd-Abasse Dahalani. Les Grands-Comoriens Saïd-Abasse Dahalani et Mouigni Baraka Saïd Soilihi infantilisent Mohéli pour leurs gamineries et pour les beaux yeux de leur chef, le dictateur Assoumani Azali Boinaheri. Le prétendu «séminaire» du M-17 et de ses deux lascars grands-comoriens, c’est du poison contre les Comores. Comme avait dit le journaliste malgache Sennen Andriamirado, quand le 15 octobre 1987, on lui annonça que son ami Blaise Compaoré avait assassiné leur ami commun Thomas Sankara: «Les Nègres, nous sommes foutus».

Par ARM

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© www.lemohelien.com – Jeudi 25 novembre 2021.


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