Voici le certificat de décès mensonger d’Attoumani Ali!

Voici le certificat de décès mensonger d’Attoumani Ali!

Comment un simple bilan de santé finit par un AVC bidon

Par ARM

       Nous voici en possession du certificat de décès absolument bidon et mensonger d’Attoumani Ali Hamidi, l’accompagnateur d’Idaroussi Hamadi dit «Tonton-m’a-dit», le neveu du dictateur fou de Mitsoudjé, affublé du titre maudit de «secrétaire général du gouvernement», en réalité, le Régent des Comores de Mitsoudjé. «Tonton-m’a-dit» a un cancer. Attoumani Ali Hamidi était son accompagnateur en Inde, où il se fait traiter. Il demande à son accompagnateur de se faire faire un bilan de santé. Il ordonne son assassinat pour qu’on puisse prélever ses organes et remplacer ceux qui sont détruits par le cancer sur son corps. Or, toute honte bue, un médecin indien ose certifier qu’Attoumani Ali Hamidi, 40 ans, bien portant, sans antécédents médicaux, l’accompagnateur d’un moribond, est mort alors que le moribond est vivant et baise dans une suite d’hôtel à Dubaï! C’est surréaliste!

Le faux certificat de décès

Observons le déroulement des événements. Attoumani Ali Hamidi est admis à l’hôpital le 1^er novembre 2019 et est décédé le 2 décembre 2019, prétendument d’un accident vasculaire cérébral (AVC), la cause de la mort de 99,99% des Comoriens. Qu’on se le dise! Le corps aurait quitté l’Inde soit le 2, soit le 3 décembre, et il est arrivé aux Comores le 4 décembre 2019. C’était donc un événement attendu, voire, pis, un événement prémédité et planifié. Si les Comoriens comprennent bien ce qui se passe, Attoumani Ali Hamidi bien portant, sans le moindre problème cardiaque, est admis à l’hôpital pour une attaque cardiaque et en est mort. Cette attaque cardiaque est survenue où, alors que, comme Idaroussi Hamadi, il vivait à Dubaï? Le défunt et Idaroussi Hamadi se trouvaient où au moment de l’attaque cardiaque? Quand on est avocat, on se pose ces questions, et les réponses qu’on obtient sont très révélatrices. En réalité, le défunt était resté 24 heures à Dubaï avant de repartir en Inde avec le Régent.

Dégoûté, un fidèle lecteur de votre site préféré nous a envoyé ce message: «Pourquoi les militaires sont allés accueillir à l’Aéroport de Hahaya le cercueil du défunt et l’ont accompagné jusqu’à Djongwé, alors qu’il n’est pas militaire, pendant que le Colonel Mohamed Anrifi Moustoifa dit José et le Colonel Abdoulbastoi Ahmed dit Bastou avaient été abandonnés et humiliés par leurs compagnons d’armes, ces militaires-là? Un civil ne relève pas de l’Armée. D’où et de qui vient l’ordre donné aux militaires pour leur démonstration de force destinée à intimider la population?». On ne le dit pas aux Comoriens.

Dès lors, le certificat de décès parlant d’AVC et d’autres problèmes cardiovasculaires est tout simplement un tissu de mensonges et d’inepties. Il confirme qu’il y a eu assassinat d’Attoumani Ali Hamidi, dont les organes volés permettent maintenant à «Tonton-m’a-dit» de vivre. Il est tout de même rassurant de savoir que des membres de la famille d’Attoumani Ali Hamidi rejettent totalement et définitivement la thèse absurde de l’AVC. Et puis, n’avez-vous pas remarqué que ces derniers temps, 99,99% des Comoriens meurent d’AVC?

Par ARM

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© www.lemohelien.com – Jeudi 5 décembre 2019.