Vils Nourdine Abodo, Harimia Ahmed et Cheikh Salim
Les trois mercenaires du «Droit» se réunissent secrètement
Par ARM
À peine nommée membre de la Cour suprême de la honte et du non-Droit, l’avocate Harimia Ahmed, ancien Bâtonnier de Moroni, n’a pas tardé à se convertir au vil mercenariat «juridique» au service du «pouvoiriste» polygame Assoumani Azali Boinaheri dit Bakapihi, «Le Père qui ne prépare jamais à manger». Le fait même qu’elle soit nommée en ce moment de grave violation du Droit aux Comores signifie qu’elle a pris la grave décision de jeter sa dignité et sa personnalité au caniveau et de cadenasser le peu de conscience qui lui restait, en confiant la clé de cette conscience perdue au dictateur de Mitsoudjé, qui l’a jetée dans les chiottes en tirant la chasse d’eau. Elle vient de perdre son honneur, et est coresponsable du dévoiement du Droit au service d’une dictature clanique spécialisée dans le mépris envers les Comoriens et le vol d’argent public.
Ceci est d’autant plus vrai qu’une réunion criminelle et clandestine a été présidée par l’abject et ignoble mercenaire Nourdine Abodo, surnommé Satan par les magistrats, l’Intrigant par les avocats, l’Infâme par le peuple, le Serpent à lunettes à Bête-Salam et le Vénérable Aîné par le bandit des grands chemins Saïd Ahmed Saïd Ali, descendant direct de l’écrivain anglais William Shakespeare, qui a rédigé Othello et Roméo et Juliette sous l’arbre à pain et le cocotier jouxtant la case de ses ancêtres à Ntsoudjini. Au cours de cette réunion crapuleuse, le mercenaire ignominieux Nourdine Abodo était entouré de Cheikh Salim, Président de la Cour suprême, et Harimia Ahmed, qui vient donc d’être nommée membre de cette Cour suprême qui sera chargée d’avaliser toutes les hontes frauduleuses et criminelles de la «Ripoux-blique» de Mitsoudjé.
Cette réunion clandestine et criminelle est d’une très grande gravité pour l’État et le Droit dans la mesure où des juges d’instruction y ont été choisis par le trio de mercenaires sans foi, ni Loi, ni dignité, ni honneur, pour remplacer ceux qui sont en place et jugés indociles. Le méprisable et méprisé ignoble mercenaire Nourdine Abodo est mandaté par le «concubinocrate» Assoumani Azali Boinaheri pour rencontrer les nouveaux juges cooptés par les proches du dictateur de Mitsoudjé et considérés comme aptes et disposés à exécuter les yeux fermés les ordres de Beït-Salam, notamment contre les adversaires politiques qui seront désignés coupables par le «ventriote» Assoumani Azali Boinaheri. Déjà, est établie clandestinement et illégalement une liste infâme et infamante de personnes innocentes à arrêter et à emprisonner, en inventant des faux motifs, l’essentiel étant de les salir et de les affaiblir politiquement.
L’avocate Harmia Ahmed, qui n’avait rien à demander à qui que ça soit, participe à ce grave crime contre le Droit et les valeurs universelles de la liberté et de la morale. Continue, Madame! Continue! Tes réunions clandestines sont un secret de Polichinelle. Continue!
Par ARM
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© www.lemohelien.com – Mardi 8 mai 2018.
