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Un notable de Mdé mendie pour Djaffar Ahmed chez Azali

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Un notable de Mdé mendie pour Djaffar Ahmed chez Azali

Djaffar Ahmed quémande le pardon auprès d’Azali par des tiers

Par ARM

       Un homme fidèle, bon et correct, cet Ibrahim Abdou Saïd-là. Il n’est pas d’Itsandra comme l’acteur politique dont il défend la réputation, mais y a étudié, connaît la ville et ses habitants. Il dit être prêt à se jeter au feu plutôt que d’admettre «la rumeur scélérate, perfide, diabolique, satanique, haineuse et diffamatoire» selon laquelle l’ancien Vice-président Djaffar Ahmed Saïd Hassani mendie le pardon de son ancien chef, le dictateur Assoumani Azali Boinaheri. Pour rappel, alors qu’il était encore Vice-président, Djaffar Ahmed Saïd Hassani avait désavoué publiquement son chef Assoumani Azali dans son discours public et historique du samedi 18 juin 2018 par lequel il a vertement dénoncé la dictature actuelle. Pourtant, le frère, expert et patriote Ibrahim Abdou Saïd doit se rendre à l’évidence: Djaffar Ahmed Saïd Hassani quémande le pardon du «pouvoiriste» Assoumani Azali Boinaheri, et cela chaque jour, le plus souvent par l’intermédiaire de personnes tierces, dont ce Grand Notable de Mdé, en Grande-Comore. L’homme d’Itsandra connaît la proximité entre le Grand Notable de Mdé et le dictateur.

Le meilleur rempart (moronien) de Djaffar Ahmed Saïd Hassani est mort récemment un goût de cendres dans la bouche: il s’était rendu compte que son protégé se cache pour demander pardon au tyran Assoumani Azali Boinaheri, manquant d’estomac pour vivre en exil. Cela tue le leadership qu’il s’était fait par son flamboyant et glorieux discours du samedi 18 juin 2018. Le jour de notre prochaine rencontre, Incha Allah, je dirais à Djaffar Ahmed Saïd Hassani qu’un homme doit avoir des idéaux, des principes et du courage, que par le passé, je m’étais absenté des Comores pendant 23 ans et 1 mois (septembre 1992 – octobre 2015) sans en mourir, que mon dernier séjour aux Comores remonte au 19 mai 2016 et que je vis à 30 minutes d’avion de Mohéli, que je n’en suis pas mort et que je n’ai aucun pardon à quémander auprès d’un dictateur. Que je meure en exil et que je sois enterré par des chiens, des chacals et des hyènes plutôt que de me rabaisser par une demande injustifiée d’un pardon au tyran!

Par ARM

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© www.lemohelien.com – Vendredi 31 juillet 2020.


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