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Saïd Larifou «Clous» refait l’unanimité contre lui

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Saïd Larifou «Clous» refait l’unanimité contre lui

Il croit faire rouvrir son cabinet d’avocat à la Réunion

Par ARM

      Visé par des mesures de représailles pouvant aller à l’assassinat par Kiki, l’ancien docker de Dunkerque, et son chefaillon, le «pouvoiriste» polygame Assoumani Azali Boinaheri dit Bakapihi, «Le Père qui ne prépare jamais à manger», l’Anjouanais Ahmed Bourhane aurait dû normalement adopter un profil bas et faire dans la discrétion. Mais, non! Il est resté dans le combat patriotique et démocratique. Sa dernière sortie est de la meilleure eau, s’attaquant à la plus grande imposture de la «Ripoux-blique» de Mitsoudjé: «Monsieur Clown, Maître Clous» Saïd Larifou, l’homme qui n’a pas été capable de sauver son misérable cabinet d’avocat et sa maison à la Réunion, mais qui prétend crânement qu’il peut faire entrer les Comores, pays incapable de fabriquer un cure-dents, dans l’émergence économique.

Ce que beaucoup de Comoriens ne savent pas, c’est que l’Anjouanais Ahmed Bourhane est le meilleur connaisseur de «Monsieur Clown, Maître Clous» Saïd Larifou: il a étudié avec lui par le passé. Dans son billet, il a écrit: «Près de 125 millions de francs comoriens, soit 250.000 euros! C’est la somme que Larifou doit à la seule Caisse à la Réunion. À la seule Caisse! C’est une somme énorme pour la petite étude de Larifou. Le signe d’un gouffre financier abyssal dans lequel celle-ci est plongée. On s’en fout des écarts et des convulsions politiques de Larifou, devenu la risée de tout le monde aux Comores. C’est le côté très mauvais gestionnaire avéré qui doit nous interpeller tous. Un petit cabinet, une dette de 250.000 euros rien que par rapport à la caisse! Et cet homme a eu le culot de venir nous faire des leçons en matière d’émergence! C’est le monde à l’envers; tout Comorien doit s’élever contre cette imposture. À croire que cet individu a étouffé l’expression démocratique aux Comores et s’est imposé comme sauveur des Comores et s’est fait une vocation de chantre de l’émergence».

Refusant de faire dans la dentelle, Ahmed Bourhane enfonce le clou: «Ils sont un paquet ayant échoué en France autour d’Azali; ils se parent de meilleures intentions du monde. Que reste-t-il encore de la crédibilité des Assises d’Azali si le porte-parole du CPAN, le défenseur des Assises, est coupable d’une mauvaise gestion de sa propre entreprise? C’est plus facile de gérer une petite structure à la Réunion que de voler à la rescousse de l’émergence dans un pays comme les Comores. Vous aurez compris, Larifou joue au charlatan! Il a coulé une petite étude; il ne pourra pas sauver un pays entier avec toutes ses contraintes comme les Comores. C’est un expert autoproclamé sans expertise avérée, ni expérience probante. Il avait annoncé la transparence du budget des assises de 360 qui passe à 680 millions, selon Sagaf. Nul doute que Larifou ne pourra présenter ce rapport sur la gestion de l’argent du contribuable à propos des Assises. L’habit ne fait pas le moine. Celui qui a inventé l’expression “crimes économiques” est tout simplement un mauvais gestionnaire indigne du projet d’émergence pour les Comores».

Tout ça est bien dit, très bien dit, et surtout vrai. Ahmed Bourhane parle vrai. Il est dans la vérité, et rappelle aux Comoriens ces vérités, à un moment où «Monsieur Clown, Maître Clous» Saïd Larifou fait circuler sur les réseaux sociaux la page d’un journal de la Réunion qui parle de sa tentative de réouverture de son cabinet à la Réunion. Il peut toujours courir. En vérité, dans l’affaire, il n’y a pas que les 250.000 euros. La dette atteint 2 millions d’euros. Le prétentieux et ancien avocat à la Réunion se bat comme le petit diable pour cumuler un magot, passant de l’ancien Président Ahmed Sambi en 2015, à l’ancien Vice-président Mohamed Ali Soilihi en 2016, pour atterrir dans le slip du «concubinocrate» Assoumani Azali Boinaheri en 2017 et y rester. Dans la foulée, n’oublions pas l’escroquerie aux visas Schengen, qu’il promet sans suite à des jeunes du Sud de la Grande-Comore, qu’il dépouille sans vergogne.

L’applaudisseur laudateur de «l’émergence émergente du pays émergent à l’horizon 2030» amasse donc sou par sou, en croyant qu’il va pouvoir rembourser 2 millions d’euros, soit un milliard de francs comoriens. Son homme qui vit à Angers, siège médiéval de la dynastie des Plantagenêt, et qui dit vouloir porter plainte contre ce site ne parle «que» de 150.000 euros de dettes. Voire… Si «Monsieur Clown, Maître Clous» Saïd Larifou était resté l’homme qui s’était présenté aux Comoriens au début des années 2000, les Comoriens auraient organisé une grosse collecte nationale pour sauver sa maison et son cabinet d’avocat. Mais, voilà, il s’est dévoyé, déshabillé en public, et a entraîné son parti politique mort-né RIDJA dans la tourmente et la honte. Aujourd’hui, dans les taxis et sur les places publiques aux Comores, on ne parle que de lui. En mal. Il continue à faire l’unanimité contre lui.

Pourtant, il doit savoir que le rapport accablant le concernant, qui a été remis à Ikililou Dhoinine par les services de renseignement de tel pays, constitue sa mise à mort. Qu’il demande à son chef, le Saigneur Assoumani Azali Boinaheri, de lui remettre une copie de ce rapport mortel qu’a dû lui filer le fugitif international Hamada Madi Boléro, le Saigneur du Mal, par le Mal, pour le Mal et dans le Mal. Le comploteur de Chouani, Grande-Comore, né à Mohéli, n’est pas homme à quitter Bête-Salam sans emporter une copie de ce papier qui peut servir de moyen de pression (chantage) sur «Monsieur Clown, Maître Clous» Saïd Larifou.

Fin mars 2018, un jugement en appel sera rendu sur son affaire, mais on ne le voit pas redevenir avocat en France, sauf si son chef de Bête-Salam lui remet une bonne partie des maigres ressources de l’État comorien. Donc, sa petite publicité pour dire qu’il va redevenir avocat à la Réunion n’intéresse que les bobos, les chantres de la bobocratie, les beaufs, les gogos et les chantres de la gogocratie. Ayant coulé définitivement, «l’émergence» personnelle lui est inaccessible. Au fond, son naufrage à la Réunion ne lui a permis d’en tirer aucune leçon.

Tel est ce cancre qui a quitté l’École en classe de secondes et dont l’accès aux études supérieures lui avait été rendu possible par une Capacité en Droit, qu’on ne retrouve plus aujourd’hui. Cela explique beaucoup de choses sur un nullissime qui s’égosille en chantant «l’émergence» et qui a été incapable de gérer son cabinet d’avocat, de conserver sa maison, et de faire élire quelqu’un un jour, faute de se faire élire lui-même.

Par ARM

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© www.lemohelien.com – Lundi 5 mars 2018.


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