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«Ouf! Ces rigolos ont bien fini par m’oublier enfin»

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«Ouf! Ces rigolos ont bien fini par m’oublier enfin»

Idaroussi Hamadi rit sous cape et insulte les Comoriens

Par ARM

       Cela fait des semaines qu’on ne parle pas de cet assassin et voleur d’organes humains. Et cela a donné des idées à ce brigand appelé Idaroussi Hamadi dit «Tonton-m’a-dit», le neveu maudit et hautain du mort-vivant et «pouvoiriste» polygame fou Assoumani Azali Boinaheri dit Bakapihi, «Le Père qui ne prépare jamais à manger». Idaroussi Hamadi est mourant. Un virulent cancer le tue à petit feu en ce moment. Il a fait tuer Ali Attoumani Hamidi, son accompagnateur, et a fait prélever sur lui les organes vitaux qui étaient destinés à remplacer ceux détruits dans son propre corps par le cancer. Eh bien, comme la pression médiatique de novembre et décembre 2019 sur le sujet est retombée, l’assassin et voleurs d’organes humains appelé Idaroussi Hamadi se croit spirituel, et insulte les Comoriens. Devant ses séides qui font le déplacement pour aller le voir à Dubaï, où il se prélasse dans un hôtel 5 étoiles aux frais du peuple comorien, et à New Delhi, où il se fait soigner, il a prononcé ces injures: «Ouf! Ces rigolos ont bien fini par m’oublier enfin». Ce sont les Comoriens qu’il qualifie de «rigolos». Mais, il se trompe: les Comoriens n’ont rien oublié de ses vols d’argent public, de son mépris à leur égard et du crime qu’il a commis sur Ali Attoumani Hamidi pour récupérer sur lui ses organes.

Par ARM

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© www.lemohelien.com – Vendredi 17 janvier 2020.


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