Msa Ali Djamal a de nouveaux comptes pour mentir
Il vit dans les mensonges abjects et mourra en mentant
Par ARM
La rencontre a eu lieu à Marseille en juin 2005. Le Député Mouzaoir de Chezani-Mboinkou et quelques autres partisans Mohamed Caambi El Yachouroutu essayaient de vendre la candidature improbable de ce dernier pour Anjouan-2006, lui qui allait se désolidariser du putschiste Assoumani Azali Boinaheri, dont il était le Vice-président depuis 2002, à cause de son bilan absolument désastreux. Parmi les personnes présentes, il y avait Msa Ali Djamal, qui s’était présenté comme «éditeur, écrivain, sociologue, adepte de Pierre Bourdieu…». Il semblait intellectuellement intéressant aux yeux de ce Mohélien arrivé en France il y avait à peine deux mois. Cependant, le Chezanien Msa Ali Djamal allait s’avérer un individu sans scrupules, vivant de mensonges, de haines et d’injures. Il ne lui est pas reproché d’avoir des affinités politiques, de faire le lèche-cul, le «lèche-bottisme» de «lèche-bottiste», mais de manquer de dignité et d’honnêteté. Sur son île de la Grande-Comore, le proverbe bien connu dit que «la misère ne tue pas les bonnes manières nées de la coutume».
Msa Ali Djamal n’a pas compris qu’on peut faire de la communication politique en restant dans l’honnêteté, la propreté, la vérité et la dignité. Or, tout son «travail» en la matière se ramène à la malhonnêteté, aux mensonges, aux injures et à la haine. Il crée des comptes sur Internet uniquement pour injurier haineusement ceux qui s’opposent aux crimes de son maître, le «pouvoiriste» Assoumani Azali Boinaheri. Ses mensonges l’avaient conduit à la Direction générale de l’ORTC, «l’odieux-visuel» du dictateur fou. Son incompétence et ses vols d’argent public dans un océan d’incompétence et de vols l’en ont chassé. Il vit désormais d’un emploi fictif de prétendu «Consultant» uniquement pour charrier la haine et les injures sur les réseaux asociaux. Ses injures sur des femmes comoriennes manifestant en France contre la dictature qu’il soutient ont atterri sur un livre publié en 2019. Quelle gloire en tire-t-il? Il est méprisable et méprisé.
La propagande mensongère et haineuse qu’il fait sur Internet en gaspillant l’argent des Comoriens a été démasquée et bloquée par le réseau Facebook. Que fait-il? S’assagit-il? Mais, non! Il a créé de nouveaux comptes et s’est remis à diffamer dans la haine. Comme il est un lâche sans honneur, ni dignité, ni personnalité, il se cache dans l’anonymat d’Internet. Maintenant, il se fait appeler «Moroni Infos». Pendant que ses maîtres vendent dans une illicéité totale et dans la clandestinité en juin 2020 quelque 5.550 passeports comoriens au Moyen-Orient tout en calomniant leurs adversaires politiques, il accuse injustement des gens qui n’ont jamais touché à la «citoyenneté économique». En 2015-2016, les adversaires de son maître avaient prouvé qu’on pouvait gérer une très belle communication politique sur l’espace public et de manière honnête, mais il n’en a tiré aucune leçon. Il a peur de la lumière et de la vérité. Comme la chauve-souris, il vit la tête en bas et fuit la lumière.
Un homme qui a un tant soit peu de fierté aurait arrêté de se faire maudire par les Comoriens pour un dictateur violent, ignare et inculte. Mais, pas lui, le campagnard de service, le blédard qui a honte de ses origines de blédard, alors qu’à Mohéli, si on n’a pas une partie ou la totalité de ses origines en zone rurale, on n’est pas un Mohélien. Msa Ali Djamal, le fugitif international Hamada Madi Boléro et leur chef, le criminel Assoumani Azali Boinaheri, ont le cerveau tellement à l’envers qu’ils ne respectent que ceux qui leur font du mal. Msa Ali Djamal fait partie des ignobles individus dont il faut écraser la tête. Il ne vaut rien.
Par ARM
Le copier-coller a définitivement tué la blogosphère comorienne. Cela étant, il est demandé amicalement aux administrateurs des sites Internet et blogs de ne pas reproduire sur leurs médias l’intégralité des articles du site www.lemohelien.com – Il s’agit d’une propriété intellectuelle.
© www.lemohelien.com – Jeudi 18 juin 2020.
