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Mouigni Baraka et Barwane, cache-sexes diplomatiques

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Mouigni Baraka et Barwane, cache-sexes diplomatiques

Ils sont la caution d’Azali à chacun de ses voyages aux USA

Par ARM

       Les Rapports très objectifs, alarmants et pessimistes du Département d’État (ministère des Affaires étrangères) signifient que les États-Unis savent tout sur la situation inhumaine des droits de l’Homme et sur l’inexistence de l’État de Droit et de la démocratie dans la dictature de Mitsoudjé. Or, chaque fois que le dictateur fou Assoumani Azali Boinaheri dit Bakapihi, «Le Père qui ne prépare jamais à manger», projette un voyage aux États-Unis, un faux opposant grand-comorien de son obédience lui sert de cache-sexe diplomatique, en l’habillant des oripeaux de l’ouverture politique et du dialogue démocratique. Dès lors, il cancane et fanfaronne à Washington et à New York, en se présentant en «bon et vrai démocrate» engagé «dans un dialogue constructif, démocratique et républicain avec l’opposition».

Mouigni Baraka officialisant ses fiançailles avec Assoumani Azali

       En 2022, c’est le traître Mouigni Baraka, fils de Saïd Soilihi, qui s’était publiquement déplacé en personne pour aller voir le Diable dans l’antre du Diable, qui s’apprêtait aux États-Unis, plus précisément pour assister aux travaux de l’Assemblée générale de l’ONU. Arrivé à New York, le chien enragé de Mitsoudjé pouvait se gargariser d’un discours faux-cul sur un prétendu «dialogue national» avec l’opposition. Maintenant qu’il est devenu le semblant de «Président de l’Union africaine», il voulait une nouvelle «caution diplomatique» avant de se rendre à une conférence internationale. Il demanda alors à son subalterne Ahmed Hassane El Barwane, secrétaire général du Parti Juwa, de lui adresser une lettre de mendicité politique sous couvert des élections qui n’auront pas lieu en 2024. Le subalterne Ahmed Hassane El Barwane a exécuté les ordres de son chef, comme d’habitude.

Les deux amis

       Il ne s’agit donc pas d’une coïncidence, mais d’un complot, auquel des faux opposants de la Grande-Comore sont volontaires. Mao Tsé Toung avait dit: «Une faute, ça passe. Deux fautes, c’est un complot».

Par ARM

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© www.lemohelien.com – Mercredi 5 avril 2023.


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