Ambari et les 40 voleurs de la poule aux lingots d’or
La dictatrice de Mitsoudjé est la cheffe des trafiquants
Par ARM
La dictatrice Ambari Darouèche dite Ma Dalton ou Makapihi, «La Mère qui ne prépare jamais à manger», ne m’intimide jamais, ne m’impressionne jamais. Je compte rappeler deux faits sur ma relation pourrie irrémédiablement et éternellement avec cette vipère.
1.- Alors que même les morts et les bébés à naître savent qu’elle pille le Trésor public et qu’elle incendie les lieux de ses pillages, elle avait lancé un Cabinet d’Avocats de France sur moi à la suite de la publication sur votre site préféré d’un article parlant de ses vols d’argent public et de ses pratiques de pyromane consistant à brûler les bâtiments publics où elle a tout volé: Direction générale des Impôts, Trésor public, Comores Télécom à Anjouan…
2.- Sur mes terres, à Djoiezi, chez une personne ayant des liens de sang avec moi, elle a lancé un appel à mon assassinat, en mettant à prix ma tête: «J’offre 1 milliard de francs comoriens, soit 2 millions d’euros, à celui qui me ramènera enchaîné et dans un sac cet ARM-là».
Alors, j’ai une chose à lui dire: elle ne m’empêchera pas de dire la vérité sur le fait que c’est elle qui dirige le trafic d’or de Madagascar, avec la complicité de ses larbins que sont:
a.- Fakridine Mahmoud Mradabi, le prétendu «ministre de l’Intérieur, de l’Information, de la Décentralisation et de l’Administration territoriale, Chargé des Relations avec les Institutions» (Ouf! Ouf!).
b.- Le «Général» à la sauce tomate Youssoufa Idjihadi dit «Youssoufa Mfamanga», «Youssoufa Poisson séché», en référence à son passé de petit vendeur ambulant, morveux et analphabète de poisson séché de Madagascar, île où il a construit des immeubles cossus, île à partir de laquelle il trafique ouvertement et également des armes et de la drogue, en se servant du Camp militaire de Kandani, siège de l’État-major de l’Armée nationale de Développement («Développement» de quoi, s’il-vous-plaît?), dont il est le chef pour tuer des innocents.
c.- Nourdine Abodo, le trafiquant de lingots d’or de Madagascar de père en fils, le serpent venimeux à la langue fourchue, la vipère infâme, le mercenaire dégénéré, l’ignoble Procureur général de l’ignoble Cour suprême de Papa, surnommé Satan par les magistrats, l’Intrigant par les Avocats, l’Infâme par le peuple, le Serpent à lunettes à Bête-Salamalecs du temps des Mohéliens de Bête-Salam, cousin à Chouani, en Grande-Comore, du fugitif international Hamada Madi Boléro, spécialisé comme lui dans les fausses exégèses et fausses interprétations du «Droit», qu’aucun des deux ne connaît. Il est impliqué par sens de famille de voleurs dans le trabendo par le biais de son fils Farid Abodo, un douanier véreux.
d.- Le «Colonel Docteur Médecin» Naoufal Boina, l’assassin et propriétaire du Service de Santé militaire.
Le scandale de l’or malgache a éclaté uniquement parce que les complices de la dictatrice Ambari Darouèche avaient fait le coup de 2022 sans mettre au courant la Reine des Voleurs et des trabendistes. Elle s’est fâchée, a envoyé un message de colère à ses complices, mais sans les faire emprisonner…
Par ARM
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© www.lemohelien.com – Mercredi 29 mars 2023.