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Mchangama infâme et honni, Boléro haïssable et haï

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Mchangama infâme et honni, Boléro haïssable et haï

Ils aiment qu’on parle d’eux, même en mal, et fuir l’oubli

Par ARM

       La légende est savamment créée par le fugitif international Hamada Madi Boléro. Toute honte bue, l’«apatrîle» dit avoir «séduit» le gendre Mohamed Saïd Abdallah Mchangama, «Mohamed Saïd» lors de sa «splendeur» sous la «gendrocratie» de Saïd Mohamed Djohar, dont il était le vrai chef. Il l’aurait «séduit» après avoir développé une belle argumentation juridique, comme s’il en était capable. La réalité est beaucoup plus prosaïque: Mohamed Larif Oucacha, au faîte de sa puissance politique, l’avait présenté à «Mohamed Saïd», et dès le lendemain, le fugitif international Hamada Madi Boléro s’employa avec acharnement et haine à tuer Mohamed Larif Oucacha auprès de «Mohamed Saïd». Le fugitif international Hamada Madi Boléro, emporté par un complexe d’infériorité, se croit obligé de donner du «Président» à «Mohamed Saïd» quand il parle de lui. Il est dans un état mental qui le pousse à n’idolâtrer que ce que Malek Chebel appelait «les héros négatifs, comme Kadhafi et Ben Laden».

La publication d’un article sur «Mohamed Saïd» le jeudi 11 février 2021 et sur le fugitif international Hamada Madi Boléro ce mercredi 17 février 2021 a valu à votre site préféré des réactions acides et indignées: «En parlant de Boléro, tu le sors de son anonymat et de sa médiocrité. Laisse-le dans l’oubli. En écrivant sur lui, tu le ressuscites, et c’est ce qu’il veut en vain: qu’on parle un peu de lui, le pauvre!». «J’étais en train d’écouter les flaflas vaseux de ton fugitif sur l’Accord de Fomboni, cherchant à s’attribuer le beau rôle. On voit qu’il s’est arrangé avec Al-Watwan pour rappeler au monde son existence, une existence inutile».

On lit aussi: «Sur l’Accord de Fomboni, je me rappelle de notre entretien à Beït-Salam. J’étais à Moroni avec des amis et nous voulions comprendre à quoi tout cela rimait. Boléro nous invita à ne pas trop chercher à théoriser, “le plus important étant d’y participer pour ne pas vexer les Mohéliens, wandru magougourou [«des têtes de mules»], qui pensent toujours que ngawé bonélwaoQu’ils sont méprisés»]ˮ. Il mélangeait exprès le grand-comorien et le mohélien, comme en clin d’œil pour nous mettre dans une sorte de complicité)».

Voici un commentaire sur les deux voyous: «Boléro et Mchangama ont pour devise: “En bien ou en mal, pourvu qu’on puisse parler de nousˮ. Intérieurement, cela leur fait mal, mais, publiquement, ils apprécient qu’on ne les oublie pas. Leur avenir politique est derrière eux. Mchangama est méprisable et méprisé. Boléro est haïssable et haï. Ils souffrent car ils sont tombés dans l’oubli, même si une rumeur perfide prétend que Boléro sera nommé ministre».

Voici une tartine sur «Mohamed Saïd»: «Mchangama est un OMNI, un objet matrimonial non identifié. En mars 1990, lors du scrutin présidentiel, il rentre aux Comores par Mohamed Taki Abdoulkarim. Personne ne le connaît et ne se souvient de sa misérable existence. Entre les deux tours de l’élection, il se marie avec Lili, la fille préférée du Président Djohar. En quelques jours, il tient Djohar par une affaire de mœurs et par chantage. Il devient l’État, fait ce qu’il veut, devient la star, décide de tout, trempe dans plusieurs vols, devient très riche… Le coup d’État du 28 septembre 1995 l’anéantit. Il fait tout pour exister, s’autoproclamant cancérologue sans avoir étudié la Médecine et la cancérologie, crée une usurpation sur les Consommateurs aux Comores. Tout ce qui peut faire parler de lui est bon. Lors des élections législatives de 1992, il est éliminé au premier tour: les gens sérieux ne supportent pas l’arriviste qu’il est. Il fit dissoudre l’Assemblée pour se faire “élireˮ et la présider. Depuis qu’il est tombé dans l’indifférence des Comoriens, bien qu’il se soit érigé en donneur de leçons, il se méprise lui-même. À moins de recourir à l’argent de ses vols pour faire un coup d’État, il n’a aucun espoir de revenir sur la scène politique. Il se sait fini, et ça le tue».

Par ARM

Le copier-coller a définitivement tué la blogosphère comorienne. Cela étant, il est demandé amicalement aux administrateurs des sites Internet et blogs de ne pas reproduire sur leurs médias l’intégralité des articles du site www.lemohelien.com – Il s’agit d’une propriété intellectuelle.

© www.lemohelien.com – Mercredi 17 février 2021.


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