M. Elamine Souef, assassiné par les fautes de français
Il commet trois fautes très graves dans une seule phrase
Par ARM
Mohamed Elamine Souef, ministre des Affaires étranges qui lui sont étrangères, est grotesque, ridicule et pathétique. Il aime le vulgaire et le subalterne. Toute honte bue, et assumant jusqu’aux dernières limites de l’absurde le rôle du paltoquet prétentieux, il aime se présenter partout en «Diplomate de formation et de carrière». Si seulement il pouvait dire aux gens où il a vu qu’il avait une formation de diplomate! Au Pakistan, sans doute, par ses amis les Talibans? Si c’est cela, qu’il le dise ouvertement pour que la chose soit claire dans les esprits. Ça sera toujours ça de pris.
Le pauvre chéri! Aujourd’hui, il en est réduit à faire payer ses déclarations à ceux qui trouvent qu’elles présentent un quelconque intérêt. C’est un scandale. Ce scandale est d’autant plus puant que Mohamed Elamine Souef a commis trois fautes très graves dans une sorte de phrase de 13 mots: «Interview du Ministre SOUEF, suite au sinitre survenu après les innondations de NIOUMADZAHA».
1.- On n’écrit pas «Sinitre», mais «Sinistre».
2.- On n’écrit pas «innondations», mais «inondations».
3.- Le sinistre n’est pas survenu suite aux inondations: ce sont les inondations qui constituent le sinistre. Les inondations sont le sinistre. On ne peut pas séparer le sinistre des inondations. On ne peut pas séparer les inondations du sinistre. Qu’on se le dise!
Comment est-il possible d’assurer une honorable représentation internationale du pays par une telle nullité, que le cousin dictateur de Mitsoudjé présente en potentiel Secrétaire général de l’ONU, tellement il le trouve compétent?
Par ARM
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© www.lemohelien.com – Jeudi 19 septembre 2019.
