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Le petit épicier aigri de Mohoro sévit encore et toujours

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Le petit épicier aigri de Mohoro sévit encore et toujours

Ahamada Ahamadi a détruit l’appareil diplomatique comorien

Par ARM

      Avez-vous entendu du Traité de Kütchück-Kajnadja, conclu par l’Empire Ottoman et l’Empire de Russie le 21 juillet 1774? Le Docteur Mirhane Bourhane, formé en Relations internationales, sait ce qu’il en est, et peut en parler pendant des heures, tant le sujet le passionne et tant il maîtrise son affaire. Seulement, à l’heure actuelle, ceux qui tenteront d’aller en savoir plus auprès de lui, en se rendant à son bureau au ministère des Relations extérieures et de la Coopération chargé de la Diaspora, de la Francophonie et du Monde arabe, le MIREX pour les intimes, en seront à leurs frais parce que le diplomate a préféré prendre du champ, en s’éloignant de plusieurs milliers de kilomètres d’un ministère, où règne un climat délétère. Il a pris du champ en se rendant en France, où il suit un enseignement de haut niveau sur l’intelligence économique et sur la diplomatie économique à l’École nationale d’Administration (ÉNA). Naturellement, en homme qui sait vivre, il ne parle pas de «climat délétère» qui règne dans son ministère, mais de «la nécessité d’approfondir des tâches et des exigences de la diplomatie moderne». Et pourtant… Et pourtant… En effet, le ministère des Relations extérieures est invivable. Il est devenu un affreux bouiboui, une sorte de cloaque. Il est par terre. Il est devenu la risée du Tout-Moroni. Le Tout-Moroni daube sur le ministère des Relations extérieures, un ministère détruit et discrédité. Et, au centre de la destruction de l’appareil diplomatique comorien, il y a un homme: Ahamada Ahamadi, l’homme sans âge connu pour être le petit épicier aigri de Mohoro et du ministère, dont il est l’inoxydable secrétaire général. Le petit épicier aigri de Mohoro a fait du Docteur Abdoulkarim Mohamed, le chef de la diplomatie comorienne, sa chose. Il en fait et fait faire ce qu’il veut, et ce qu’il veut est toujours mauvais et condamnable. Il a décidé que tout doit passer par lui, et le ministère est paralysé. Les chancelleries sont rouges de colère et s’en plaignent partout.

      Actuellement, sous l’impulsion de l’homme le plus haineux et le plus aigri des Comores, le ministère casse et endeuille le personnel des Ambassades par des affectations sauvages et par des licenciements abusifs, mais aucun Ambassadeur n’est informé du mouvement du personnel de la mission diplomatique qu’il dirige. À l’Ambassade des Comores en France, l’affaire tourne à la farce sinistre et à la mascarade. Après les malheurs d’Abdallah Mohamed, il y a eu les renvois sauvages et abusifs d’Abdouroihamane Soundi, Mme Amina Alfeine, Omar Badaoui, Poti Mlanao, Saïd Zoubert et Makinidine Ben Zoubert, rayés de la carte du monde par un trait de plume. Ahamada Ahamadi est derrière tous ces malheurs et deuils. L’Ambassadeur n’est jamais informé par l’homme haineux de Mohoro. Les intéressés eux-mêmes ne reçoivent jamais de notification. On les jette à la poubelle. Ils ne sont jamais pris en charge pour leur retour aux Comores. Personne ne s’intéresse à eux. Les personnes renvoyées apprennent leurs malheurs en lisant le Bulletin officiel, devenu le cahier des condoléances professionnelles. C’est tout. Quand le ministre des Relations extérieures est à Marseille pour les démarches relatives au local du Consulat comorien dans cette ville où vivent plus de 200.000 Comoriens, le petit épicier aigri de Mohoro est incapable d’imprimer le discours de son chef, et ce dernier doit lire son allocution sur son téléphone portable, en tripotant maladroitement l’engin comme un gamin boutonneux et gommeux jouant avec son nouveau téléphone dans une cour de récréation. Le Consul honoraire des Comores à Marseille n’était même pas au courant de l’arrivée dans la ville de la délégation ministérielle. Le Consul honoraire a exprimé sa mauvaise humeur dans une cinglante lettre adressée à qui de droit. Le discours qu’Ahamada Ahamadi, le petit épicier aigri de Mohoro, l’homme le plus haineux et amer des Comores et homme sans âge de Mohoro, a préparé à son ministre a juste assuré le SMIG de ce qui se fait en la matière. Il a fallu assurer le service après vente.

      Actuellement, l’homme le plus aigri et le plus haineux des Comores est à Paris, prétendument pour assister à la conférence sur le climat. «Prétendument» parce qu’on ne voit pas ce qu’il va faire dans cette affaire purement technique, où son «Doctorat» obtenu en 15 jours d’Université ne servira à rien. Il avait poussé son ministre à demander au Président Ikililou Dhoinine s’ils pouvaient l’accompagner en Afrique du Sud pour faire semblant d’assister à la conférence sino-africaine et s’amuser un peu à Soweto, et la petite troupe reçut du chef de l’État une réponse très sèche lui suggérant de rester là où il peut être plus utile, à la conférence sur le climat, en région parisienne, même si on sait ce qu’il en est.

      En réalité, Ahamada Ahamadi a une «stratégie» bien arrêtée: faire le plus de mal possible aux autres. Il le dit lui-même. Les 10 ans au cours desquels il ne travaillait pas à la Fonction publique sont restés au fond de sa gorge et il a décidé de passer toute sa vie à faire le mal à autrui, par pure haine. Il a tellement magouillé dans les chancelleries que désormais, le Comorien qui dispose d’un passeport diplomatique doit demander d’abord un certificat d’hébergement en France pour son visa Schengen. Les possibilités d’accueil de courtoisie ont été annulées, tout ça par la faute de l’homme haineux de Mohoro. L’homme qui a fait du ministère des Relations extérieures un bouiboui infâme dit ne pas être prêt à arrêter sa sinistre course pour le Mal. Il ne s’en cache pas. Ceux qui l’ont soutenu pour qu’il soit nommé secrétaire général du ministère s’en mordent tous les doigts aujourd’hui. Quand on lui parle des malheurs qu’il cause, il préfère parler de «complot mohélien» contre lui et se répand en calomnies dans la presse comorienne, se comportant en vieux papy gâteux. Allez savoir pourquoi. Allez savoir pourquoi, même si on sait que l’homme sans âge a bien un âge caché quelque part.

Par ARM

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© www.lemohelien.com – Lundi 7 décembre 2015.


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