Le pays a coulé, les «Mohéliens» d’Azali font la fête
Le QG de Boléro à l’Oasis, lieu de beuveries et ripailles
Par ARM
Les «Mohéliens» du dictateur Assoumani Azali Boinaheri vivant du mal et dans le mal à Moroni ne chôment pas, question beuveries et ripailles. Pendant que les Comores manquent de tout, même des «Mabawa», les fameuses ailes de poulets, le caviar des Comoriens, ils se retrouvent au quartier général (QG) du fugitif international Hamada Madi Boléro, à l’Oasis, Moroni, pour des fiestas et libations. Ça boit et ça mange sec, et ça verse dans des discussions de bas étages et de caniveaux. Pour ne pas se faire dépasser par l’ennemi qu’est le fugitif international Hamada Madi Boléro, le «ministre Premier» Bianrifi Tarmidhi organise ses propres pique-niques chez lui, avec les mêmes beuveries et ripailles. La concurrence pour des futilités de basse-cour et pour des enfantillages de garderie est rude entre voyous et criminels.
Surtout, il ne faut pas avoir la faiblesse de croire que l’entente est cordiale entre ces gens-là. En réalité, les Triumvirs de la honte, comprenant le «ministre Premier» Bianrifi Tarmidhi, Mohamed Saïd Fazul dit Babadi, le semblant de «Gouverneur» de Mohéli, et l’escroc notoire Chabouhane Baguiri, ont décidé de barrer la route à leur faux ami qu’est le fugitif international Hamada Madi Boléro, qui s’agite comme un forcené, avec son «monologue des sourds» entre la dictature et l’opposition, pour être nommé quelque part. Cependant, les Triumvirs de la honte savent que le jour où le loup déguisé en mouton entrera dans la bergerie, il en sera fini de leur tranquillité. Alors, ils défendent leur champ de patates. Ils mangent comme des affamés, boivent comme des assoiffés, et croient que cela va faire sortir les Comores du trou. C’est «l’émergence à l’horizon 2030».
On retiendra juste que certains des «Mohéliens» du dictateur d’Assoumani Azali Boinaheri figurent parmi les plus grands ivrognes de l’océan Indien et de l’Afrique de l’Est. C’est déjà ça de pris.
Naturellement, celle folie n’est pas sans rappeler que, dans l’Antiquité, pendant que Rome brûlait, Néron jouait de la lyre… On dit que c’est lui-même qui avait provoqué l’incendie. L’Histoire se répète, cette fois, aux Comores, chez les Nègres…
Par ARM
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© www.lemohelien.com – Mercredi 4 août 2021.